Le 06 novembre était une date marquée d'une croix blanche: SOMA venait pousser la chansonnette dans la capitale des Flandres et pas question de manquer ça: même si George Clooney m'avait proposé une dosette, j'aurais dit non.
J'arrive à la Péniche un peu fébrile ne connaissant pas l'endroit mais le bar me parait bien accueillant. Au fond, ils sont là en train de répéter, je suis plus amoureuse que jamais. On vient tirer un rideau comme s'ils avaient besoin de se préserver et get down résonne... La blanche est fraiche, je suis un vrai pilier de bistrot. Je souris au batteur qui passe à côté, je suis si heureuse de les voir. Deux membres du groupe installent quelques affiches au mur...
L'heure tourne et la salle ne se remplit guère, une vingtaine de personnes ?! Et le show commence, c'est chouette, drôlement chouette. Mais je suis déçue d'être 'seule' face à un tel talent, je suis même triste pour eux. Le succès n'est pas à portée de tous et je me suis mise à penser à ces pseudos stars académiciens à qui on apportait tout sur un plateau d'argent.
Je me laisse bercer par ce rock, être assise dans ces cas là c'est frustrant, mes fesses se sont dandinées sur un banc. Je suis littéralement envoûtée, je me sentais presqu'aussi bien qu'à un concert de depeche mode. Le chanteur a un côté épileptique, toute ressemblance avec un certain Dave Gahan est fortuite. Je n'ose même pas m'approcher pour prendre les photos, je suis intimidée (si si ça m'arrive).
Une petite heure, on a eu droit à 4 chansons de l'EP, les mecs ont la banane et rigolent presque du fait que la salle soit archi vide...
J'arrive à la Péniche un peu fébrile ne connaissant pas l'endroit mais le bar me parait bien accueillant. Au fond, ils sont là en train de répéter, je suis plus amoureuse que jamais. On vient tirer un rideau comme s'ils avaient besoin de se préserver et get down résonne... La blanche est fraiche, je suis un vrai pilier de bistrot. Je souris au batteur qui passe à côté, je suis si heureuse de les voir. Deux membres du groupe installent quelques affiches au mur...
L'heure tourne et la salle ne se remplit guère, une vingtaine de personnes ?! Et le show commence, c'est chouette, drôlement chouette. Mais je suis déçue d'être 'seule' face à un tel talent, je suis même triste pour eux. Le succès n'est pas à portée de tous et je me suis mise à penser à ces pseudos stars académiciens à qui on apportait tout sur un plateau d'argent.
Je me laisse bercer par ce rock, être assise dans ces cas là c'est frustrant, mes fesses se sont dandinées sur un banc. Je suis littéralement envoûtée, je me sentais presqu'aussi bien qu'à un concert de depeche mode. Le chanteur a un côté épileptique, toute ressemblance avec un certain Dave Gahan est fortuite. Je n'ose même pas m'approcher pour prendre les photos, je suis intimidée (si si ça m'arrive).
GET DOWN...
Deux mots au groupe: oui Mesdames et Messieurs, je leur ai parlés pour les remercier et leur souhaiter bonne chance parce qu'ils le méritent (et en même temps leur glisser mon numéro de téléphone). C'est chouette d'échanger dans ces cas là: des mecs d'une simplicité...
Et plus tard j'ai compris pourquoi la foule n'était pas là, parce qu'elle était à la Gare Saint Sauveur la vilaine pour une sorte de Tribute to Woodstock, pfffff...
Et plus tard j'ai compris pourquoi la foule n'était pas là, parce qu'elle était à la Gare Saint Sauveur la vilaine pour une sorte de Tribute to Woodstock, pfffff...
Un B qui veut dire...
Qui veut dire quoi d'ailleurs ?!
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