dimanche 13 novembre 2011

Let me show you the world in my eyes...

Salut les fans, les lovers, bref ceux qui osent encore aventurer leurs Moon Boots sur ce blog quasiment désert… C’est qu’il s’en est passé des choses, oui des choses depuis cette fameuse envie de faire un road trip made in Belgium. Envie quelque peu avortée par une envie de gros dodos, donc aventure à renouveler.

Il y a des choses dont je ne peux absolument pas parler pour le moment, des trucs genre real TV et des trucs dont je peux parler… Mais sachez que ça va bientôt pulser dans les chaumières !!! Non je ne me suis pas inscrite à Secret Story et puis ne cherchez pas, je ne peux rien dire !!! (Oh le teasing de ouuuuuf..)


Là je suis tout simplement en train d’écrire sur mon MBP, dans un avion qui me ramène de la République Dominicaine à Brussels Airport, hard le fossé… Je suis toujours surprise qu’on puisse se retrouver en moins de 10 heures de l’autre côté de l’Océan, 10 heures c’est ce qu’on met pour aller en Dordogne…

Alors BAYAHIBE c’est où en fait ? C’est simplement du côté obscur de la force, ou tout simplement du côté de la Mer des Caraïbes, avec de l’eau tellement transparente que tu vois tes pieds quand tu nages ou alors tu vois de vilaines méduses. C’est plein de cocktails, de palmiers, de sable blanc, de trus qui coupent le souffle, de danses qui font coller les gens entre eux (ouh caliente !) !!! En fait, c’est simplement a lovely paradise…







Prévues depuis un peu moins d’un mois, ce sont des vacances qui sont arrivées PILE AU BON MOMENT !!! Pourquoi ? Beaucoup de problème au travail qui tracassent la tête, qui te donnent envie de dire STOP parce que tu n’es pas fan de l’esclavagisme, bref je suis preneuse de tout job si vous avez bien compris ce message subliminal.


Mais on s’en fout du travail, on parle SSS : SEA SEX SUN… Et quelques photos qui risquent de dégoûter le seul visiteur que j’aurais, mais j’aime le risque, comme Jennifer et Jonathan, les justiciers milliardaires. Pour être honnête, j’avais un peu peur de me faire chier, à glander toute la journée, à siroter des cocktails, mais c’est une routine tellement délectable que j’en redemande encooooooore… Oui je n'ai pas goûté à tous les cocktails de la très looooongue carte et pourtant j'y ai mis de la (très très) bonne volonté!

Je reviendrai plus tard sur le cas du GO accro à la super trop canon célibataire que j’étais, encore une fois briseuse de cœur, je suis cruelle…





C'est beau hein ?! Quand je m'imagine que je vais peut être devoir gratter le pare brise de ma voiture pour aller bosser cette semaine, j'hésite à ne pas quitter l'avion. En fait, se faire chier c'est quand même super cool...

lundi 29 août 2011

B for...


Hallo Brugge!
(Je parle aussi Portugais)

A moins d'une heure de Lille, il paraissait évident de débuter par la Venise Belge. Bruges, située à 15km de la Côte, fait quand même partie du patrimoine mondial de l'Unesco, et ça c'est pas de la rigolade.
C'est magique, romantique, reposant, calme... C'est une fourmilière de chocolatiers, de bistrots, de vélos, il y a même deux H&M!!! Mais les images parlent d'avantage que mon scribouillage...




J'ai 4 ans et une bague Hello Kitty, so what?!



Un proverbe à suivre...


Une virée Belge sans bière serait elle vraiment une virée Belge?






Pour le côté culturel du road trip, j'ai opté pour une visite très instructive du Musée de la Frite ou Le 'FrietMuseum'. Situé à quelques pas de la Grand'Place, c'est la visite presque inévitable quand on aime les frites et qu'on a une soif de connaissances comme moi. Ou une soif tout court. On est vite dans l'ambiance avec une odeur délicieuse de frites (forcément) dès l'entrée...
Comptez 6 euros pour l'entrée et une petite heure au chaud.

Y a de la mayo!




Oui c'est moi...

Côté Bicky... Ça coince. Je pense être tombée dans un traquenard: une friterie un peu classe se servant du mot Bicky pour faire du chiffre?! Confirmation de ma supposition quand le dit burger a été servi dans des mystérieuses boîtes... Oui des boîtes, quelle horreur.






Point négatif: Le steack qui ressemble au steack du Big Mac, rien à voir avec le steack mystique du Bicky. Ne comptez pas non plus sur les cornichons: une malheureuse tranchette se bat en duel avec des oignons qui ont pris un sacré coup de mou.
Point positif: La mayo et les frites, un duo d'enfer.
En conclusion: Ne jamais se fier aux friteries branchouilles et bien vérifier sur la Bicky Map qu'un leurre ne m'attend pas.
Nom de la friterie: J'ai oublié...

Une première et bien jolie étape...

dimanche 28 août 2011

Mon road trip to Belgie... Le 'Bicky Tour 2011'

Parce qu'il faut quand même que je vous écrive ce que je suis partie découvrir (foutre) en Belgique...
Le concept incroyable de mon séjour: une ville, un truc culturel (ou pas) à visiter et surtout goûter un bicky burger.

Faute de longues vacances et surtout à cause des vacances qui ont démarré avec 3 jours de retard (feuque le taf), j'ai dû adapter mon planning... Me voilà donc embarquée vers 3 villes, 3 bicky, 3 trucs culturels à explorer tel Indiana Jones à la recherche du Graal, avec surement une tonne de photos à venir. Je sais: pour le côté exotisme/palmier/mojito, on repassera mais j'adore la Belgique.

Virginie
loves



Le Bicky cékoidonc ? Juste un burger avec des cornichons des oignons cuits, des sauces et un steak avec des trucs dedans mais on ne sait pas ce que c'est... Je vais donc sacrifier mon corps de déesse et prendre des kilos afin de vous filer les meilleures adresses gastronomiques all over Belgium. Mais quand on aime, on est prêt à tout faire...

Alors qui remportera l'Oscar du Meilleur Bicky?
Réponse à la fin de ce 'Bicky Tour 2011' !

Aujourd'hui...

J'aurais bien eu envie d'être là...

Je n'étais pas là non.

Encore moins ici...


Oui voilà, j'étais là: premier jour du road trip incroyable en Belgique.


To be continued...

mardi 23 août 2011

Le son qui annonce le début...

...des vacances.



Au programme de cette dizaine:

- Dodo, mais alors au moins deux jours à hiberner (éténer?) pour récupérer de mes 3 dernières semaines de 60 heures de travail.
- Road trip vers la Belgique, si si.
- Apprentissage intensif du macbook pro... Ouais je crane j'ai un macbook pro, gniiiii. Mais je ne sais pas encore trop trop m'en servir, voire pas du tout en fait. Shame on me. Mais j'ai basculé du côte obscure de la force comme il m'a dit 'le vendeur geek branché apple jusqu'aux dents', du coup je me sens trop fière.
- Pèlerinage dans les Flandres, un moment d'émotion en perspective. Et non, je ne vais pas faire un Chti Tour dans un mini train à Bergues.
- Continuer ma lancée cinéphile en allant voir Sean Penn, ressemblant à Robert Smith, dans 'This must be the place'. Si par hasard quelqu'un a vu 'The Future', j'aimerais fortement en discuter avec lui/elle alors.
- Tenter de dérober la Wii chez mes parents.
- Aller voir Madame Irma en espérant qu'elle me promette amour, gloire et beauté.

Et surtout... Aller m'inscrire à des cours qui me tiennent particulièrement à coeur. Ça vous intrigue? Vous en voulez encore?

Il faudra revenir alors!!!

samedi 13 août 2011

JLD m'a tuer...

Dans la vie, je suis naïve. Ou alors je me laisse séduire rapidement et j'occulte une certaine réalité. Je sais que je suis naïve mais je veux croire en certaines choses, j'ai quand même arrêté de croire au Père Noël (mais super tardivement).

Je sais que ma naïveté me perdra. Pour le moment c'est surtout le porte monnaie qui trinque puisque fidèle à Saint Thomas, je crois ce que je vois.
Alors quand j'ai vu, j'ai alors voulu parce que j'y ai cru. J'ai achetu, j'ai testu et j'ai été grave déçue... (bon les u, c'est pour faire des rimes et que ça fasse trop joli en lisant).

Si mes cheveux me font bien des misères en ce moment, il me fallait trouver 'le truc qui fasse que' pour ne pas aller chez le coiffeur. Ou du moins retarder l'échéance de quelques semaines.
Alors 'le truc qui fasse que', je l'ai shoppé chez Monop'... Le truc c'est ça:


Innovation ?!

Oui, j'imagine très bien ce que vous pensez. Je l'ai dit plus haut, je suis naïve.
Ce que j'espérais ? Avoir des cheveux plus souples, plus brillants et exit le lisseur...
Ce que j'ai eu ? Une tignasse toujours aussi indomptable... Des cheveux ondulés, qui se ne placent pas du tout comme sur la boîte et surtout une coiffure improbable le lendemain tant j'ai eu du mal à rincer le soin. Et aussi, 14 euros en moins pour m'acheter une nouvelle paire de ballerines.
C'est bien écrit que c'est inspiré, mais alors de loin, encore plus loin que le Brésil.

J'en rigole parce que c'est surement mon côté bisounours, mais vous l'auriez acheté vous ? Vous auriez cru à cette belle promesse ?
Le pire c'est qu'à chaque fois que je tente un truc de ce genre, ça ne marche pas et que ça ne m'empêche jamais de recommencer... CQFD: ma naïveté me perdra.

jeudi 16 juin 2011

Mmm...

C'est encore tout frais, encore étrange...
C'est comme si je tournais une page...
C'est presque comme une bouffée d'oxygène...
C'est quand même effrayant...

JE SUIS AMOUREUSE !
(nan je déconne)

En fait je viens de me séparer, elle me dégoutait. Ce sentiment amplifiait, le gong a sonné... En faisant travailler ma mémoire de vieille fille, je ne l'ai jamais aimée.

Le déclic est arrivé hier: les yeux rivés sur un étalage de charcuterie et sur ce morceau de cervelle sanguinolent... L'envie de fuir.
Je sentais depuis des jours qu'un changement arriverait et il est là: vais je devenir végétarienne ? Est ce que j'en ressens l'envie, le besoin ? Serait ce un dégoût chronique et l'envie de croquer dans un rognon resurgira dans la nuit, tel Zorro sur son cheval ?
Il y a eu trop de signes pour que je ne creuse pas la question... Pourquoi maintenant ?

La vie c'est quand même vachement bizarre.

jeudi 9 juin 2011

Finalement...

Oui, vous pouvez me détester... Le soleil a fait son grand retour, le sourire et les coups de soleil avec !


En direct de Viareggio, je vous fais la grosse bise !

mercredi 8 juin 2011

Aujourd'hui, on a voulu prendre notre pied à Florence...


Mais comme la météo est quelque peu MERDIQUE en Toscane, on a subi la pluie, l'orage, les chaussures gorgées d'eau qui font plunch plunch quand on marche... Bref, moi qui pensais revenir avec un corps de Déesse bronzé, je vais revenir avec un corps blanc comme un cul et des kilos en plus, parce qu'il faut bien tromper l'ennui dans la bouffe et le vino bianco mosso...






Et pourtant il suffit de jolies découvertes qui donnent le sourire et remontent le moral, de quelques détails pour faire fondre mon coeur de rockeuse et j'en parlerai très prochainement...

mardi 7 juin 2011

Vacances j'oublie tout... (ou presque)

Un an à attendre avant de ne pouvoir les prendre, ce fut long (et pas forcément bon)...

Pour 'teaser' l'histoire, je vous laisse deviner où je suis en ce moment sous la pluie/sous le soleil/dans les bras d'un pingouin...


mardi 31 mai 2011

Ce n'est pas un amour de vacances...

Mais un amour de travail éphémère, électrique, foudroyant...

Il était dans la cour du bureau quand je l'ai vu pour la première fois mercredi dernier. Je souriais en me demandant à qui appartenait ces belles fesses, son regard bleu azur avait fini de faire frémir mon cœur d'artichaut. Qui était il ???? Pas un nouveau collègue malheureusement...

Il m'a fallu deux jours pour aller vraiment vers lui, les jambes moins tremblantes, les mains un peu moins moites. Mais nous avions déjà fait exploser le Guinness Record de sourires et de regards troublants. La séduction moi je ne sais pas faire, saurais je un jour ?
Il venait de loin, du pays du chocolat pour être précise. Son travail l'avait amené dans notre contrée nordiste socialiste, dans ma jolie entreprise et par chance sa mission devait se prolonger au delà du week end, la tentation fut trop forte... Il n'a pas mis longtemps à comprendre, on s'est retrouvés le soir même à siroter un mojito. Son accent était attendrissant, sa galanterie charmante. Ses lèvres ont fini par effleurer les miennes en se quittant: un premier rendez vous parfait, oui oui.
Il n'avait pas vraiment quitté mes pensées depuis ce premier jour, on approchait le 'Coup de foudre à Notting Hill'. On s'est revus le lendemain, puis le surlendemain, puis le sursurlendemain et enfin aujourd'hui, jour cruel où sa mission achevée il devait me quitter.
La dernière soirée fut romantique, les blablas en tout genre n'ont jamais cessé, j'étais conquise. Choc brutal au réveil quand j'ai réalisé qu'il ne serait pas là, que je ne le verrai pas le soir même, finalement j'avais pris l'habitude de nos rendez vous. Mais ce matin il était là pour sa dernière intervention, j'ai eu la larme facile, trouvant une force de Jedi pour ne pas sombrer dans le chagrin. Promesse de se revoir, de s'écrire... Je n'ose l'espérer ou le croire, j'en ai juste terriblement envie. J'ai l'impression d'avoir 15 ans.

Il est sur la route au moment où mes doigts tapotent ce clavier, il est loin et j'ai grave la haine. Mon petit cœur est juste triste. Mais rempli de ces moments légers... Je me suis sentie revivre l'espace de quelques jours.

Je ne sais pas si c'est de l'amour que j'ai vécu ou alors une terrible attirance, il faut seulement reconnaître que ces trucs vous arrivent quand vous ne l'espérez pas. Et j'avais besoin de le voir/vivre de mes propres yeux.... Il me reste juste comme un goût d'inachevé qu'il va falloir combattre...


dimanche 24 avril 2011

Weight watchers ?!


C'est pas encore aujourd'hui que je vais me mettre au régime moi...

lundi 11 avril 2011

Aux frontières du (ir)réel...

Je tiens d'abord à préciser que cet article est réalisé sans trucage et en présence de Maître Larnaqueur, huissier de justice à NanarCity.

Si je ne traîne plus vraiment mes ballerines sur le blog, c'est que je suis fortement occupée à chercher l'appartement/maison/cagibi/chambre de bonne de mes rêves (et/ou le prince charmant aussi)... C'est que ça prend un temps de fou parce que côté exigences, je pense atteindre des sommets, à la limite de figurer dans le Guinness (pareil pour le prince charmant).

En plein stage 'Stéphane Plazza', je poursuis la moindre piste et je me suis finalement décidée à me tourner vers les agences... Et là je dis non !!! En première de couv' d'un magazine gratos, qui doit surement coûter un bras/un rein, je tombe sur cette annonce qui a maintenant le mérite et la chance de figurer sur mon blog...

Il y a de quoi heurter ma sensibilité !!! La votre également ?! Et non je n'ai pas gagné 10 fois les Dicos d'Or...
On a beau dire ce qu'on veut, une faute c'est acceptable mais au dessus ?! C'est licenciement pour faute grave ? J'en rigole mais je n'aimerais surtout pas être à la place de la personne en charge de la rédaction de ce chef d'œuvre...

Du coup, je lance le jeu de la semaine:
combien y a t il de fautes dans l'annonce ?!

dimanche 10 avril 2011

From Paris To Roubaix...

Il y a eu cette phrase affichée au Vélodrome qui fait sourire 'L'enfer du Nord mène au Paradis'... La plus belle course au monde pour certains où les cyclistes seraient des David à l'assaut de Goliath, autrement dit les pavés.
Le Paris Roubaix sous la pluie, sous le soleil ou sous la neige (moins probable quand même), on y a droit tous les ans et moi je suis fan. Et pas uniquement parce que c'est l'occasion de voir des hommes moulés dans leur caleçon, non non. Ou alors un petit peu quand même.
C'est magique, c'est comme un aimant, une drogue ?!

Quand l'espace de deux heures, j'ai cru ne pas pouvoir l'honorer de mes applaudissements aujourd'hui, j'ai eu la larme au coin de l'œil revolver... Un peu comme une petite fille qui serait sentie oubliée par le Père Nowel: pas cool hein ?!
C'est qu'à force de prendre l'habitude d'aller au même endroit, on ne s'attend pas à ce que subitement Paris Roubaix casse la routine et change d'itinéraire. A l'arrachée, on s'est retrouvés dans un secteur non pavé mais on est quand même repartis les mains un peu rouges et la sensation du devoir accompli.



Une course qui requiert un minimum de masochisme... Une course qui fait peur, qui fascine.
Le Paris Roubaix ne sera jamais une course quelconque. C'est LA Course, c'est ma course, c'est chez moi...

mercredi 23 février 2011

jeudi 17 février 2011

Aérodynamisme ?

J'ai hésité 2 secondes avant d'esquisser un petit hochement de tête pour approuver sa proposition.
J'ai longuement réfléchi alors que mes cheveux disparaissaient petit à petit sous une mousse blanche, j'ai failli aussi m'endormir pendant que ses mains pétrissaient mon crane. Le premier coup de ciseaux fut...

Oui j'ai osé !

Du bouclé, du roux, du raide, du n'importe quoi... Voilà mon chemin capillaire en 2010. Et la perpétuelle quête de la coupe parfaite ou alors pas trop moche pour sortir le dimanche pour la messe. Je me suis toujours bien vautrée jusqu'à maintenant, certains se moquent encore de ma permanente...
Finalement... J'avais envie de court depuis quelques temps. Mais c'est surtout délicat quand on a les joues bien rondes, j'ai des joues bouffies. Le court j'ai testé mais jamais de manière bien heureuse: le petit côté mémé quand on a 24 ans, la haine.

Et je suis tombée sur elle, son expérience, sa manière de cerner mes envie. Sa façon de me faire rêver... J'ai les cheveux courts ! Je revis.

C'est surtout très asymétrique et très 80's: I love that !


Changement encore plus radical: le court ça attire vachement le regard et pas qu'un peu. Je travaille entourée d'hommes et je n'ai jamais autant été sollicitée pour aller prendre un café, discuter du beau temps (enfin surtout de la pluie)... Mon Dieu, y aurait il de l'amour dans l'air ?

To be à suivre...