mardi 27 juillet 2010

This time...



Il m'aura fallu acheter 1 robe, une veste, une broche... Prendre la voiture, découvrir la campagne Lilloise. Me lever tôt à 3 reprises. Accepter des rendez vous dans la précipitation. Attendre et relancer. Attendre et accepter...

Ca y est, je (re)travaille.

Ne croyez pas que je vous abandonne, que j'abandonne mon blog que j'aime d'amour toujours mais la semaine dernière a été du genre fofolle et on aura beau dire mais recommencer à travailler, ben c'est trop trop fatigant. Le premier qui se moque, je lui envoie ma pantoufle en pleine figure, be careful...
J'ai des collègues, du café à volonté (et bon en plus!), un bureau en open space (la classe) et une foultitude de testostérone sur jambe qui fourmille dans mon environnement, un patron qui met des sweats à capuche (et Dieu sait que j'adore les sweats à capuche)...

I know it's for real !

lundi 19 juillet 2010

Lucie, oh Lucie...

Qu'est ce que tu te fiches dans cette aventure ?!
Qu'est ce qui t'amène ?

Oui je regarde tous les Saints lundis 'L'amour est dans le pré'... Vous pouvez rire mais je suis sure que vous regardez 'Secret Story'.
Donc on a un fermier plutôt rustre, pas franchement bavard, pas visuellement appétissant...
De l'autre on a la petite Lucie, aux cheveux improbables, qui n'a jamais vu le loup, au sac à main rouge et surtout qui pense être tombée sur l'homme de sa vie en la personne du fermier: le hard rockeur Pascal qui collectionne les cartes postales d'avant 1920, c'est trop meugnon...

Rrrr... L'oeil brillant, la moustache moustachue, le pull vintage... Rrrr


Des dialogues tout droit sortis d'une BD des Bidochons, on pourrait en rire mais je les trouve tellement pathétiques, lui, elle ou les deux ?! Elle me fait surtout pitié à s'accrocher à cet homme qui n'a rien pour lui, sauf un magnifique gilet jaune de sécurité routière accroché au siège passager de sa voiture: le top de la pecno attitude.
Ok la petite n'a pas le QI d'Einstein: 'Les plages du débarquement c'est pas à Verdun ?! Ah je mélange tout...' Mais quand même, n'a t elle pas un peu de fierté ??? Réveille toi !!
Lui ne cherche qu'une femme pour lui faire la cuisine parce que les soupes en sachet et le cassoulet en conserve ça suffit... Mais elle, 24 ans et toutes ses dents, elle a vraiment envie de ça, enfin de lui, ou ne serait qu'un signe de désespoir ? Conception improbable de l'amour.
Je pense que Lucie, tu t'es surtout trompée d'émission, envoie ton CV à 'Nouveau look pour une nouvelle vie'. A toi, amour, gloire et beauté... (ou pas)
Au centre

samedi 17 juillet 2010

Lettre ouverte...

Le moment était joyeux, le coca était light, le pringle de l'apéro un peu mou mais la frite qui suivait bien grasse... L'ambiance est devenue triste en l'espace d'une seconde et j'ai tenté vainement de cacher cette larme qui insistait pour couler le long de mon visage (et bousiller mon magnifique make up). Plus forte que moi encore une fois je n'ai pu la retenir, l'instant émouvant mais je ne pleurais pas pour lui...
Tu étais derrière moi, toi aussi attristé par une cette disparition... Moi je pleurais la chance que j'avais de t'avoir avec moi, de vivre des chouettes moments mais j'ai été vite happée par cette peur: te perdre. Un jour oui ça arrivera mais n'as tu pas envie de repousser l'échéance le plus loin possible ? Je t'aime trop pour jouer les moralisatrices et tu es un grand garçon pour prendre la décision que nous attendons tous. Je sais que tu dois y penser de temps en temps, que tu dois penser aux angoisses que tu aurais... Mais nous, on serait là pour toi. Tu as peur de l'échec ? Ne dit on pas que le principal c'est de participer ? Dans le genre 'devise bien bidon', on peut mieux faire...
Je ne pleurais pas le comédien mais le père qu'était Bernard Giraudeau, l'instant émouvant où cette fille chante pour son père, qui me fait penser à ces moments où je pose le casque sur mes oreilles et que tu me fais écouter tes dernières compositions...



Alors Papa,
c'est quand que tu arrêtes la cigarette ?!


Aux frontières du (ir)réel...

Bzzz, bzzz, bzzz... Bruit d'un téléphone qui vibre sur la moquette orange de ma chambre, moi calée sous la couette, rêvant de Dave Gahan...
Moi: 'Kyhggksh...'
Lui: 'Hey coucou, je pensais à toi alors je t'appelle.'
Moi: '...'
Lui: 'Ouh ouh, tu fais quoi là ?'
Moi: '...'
Lui: 'Bon je te fais chier ou tu dors ?!'
Moi: 'Euh... J'hésite à t'envoyer chier parce que oui je dors, il est 04h du matin.'
Lui: 'Ah merde, j'oublie toujours le décalage et je partais en virée là.'
Moi: 'Ben retourne à ta soirée et si tu reçois un appel quand il sera 04h du matin chez toi, ne viens pas pleurer.'
Lui: 'Ok ok, bon t'as l'air de super humeur, je t'embrasse quand même.'
Moi: 'Ouais et viva Espana.'
Lui: 'T'es vraiment trop rigolote.'

Une conversation Lille et Rio de Janeiro (qui n'est absolument pas en Espagne) entre copains ça n'a pas de prix, mais alors quand on m'extirpe de mon sommeil, je deviens encore plus méchante qu'une bouteille d'Orangina Rouge. Je planifie une vengeance très prochaine, niark niark... Je suis preneuse d'idées si vous aussi vous êtes méchants les ptits clous !

vendredi 16 juillet 2010

Nouvelle robe pour une nouvelle vie ?

Un rendez vous est obligatoirement prétexte à l'achat d'une nouvelle robe et je voulais me donner toutes les chances de séduire. Oh et puis ce sont les soldes hein, alors on peut... Elle fut noire dans un premier temps mais l'espagnol (pour les non modeurs, je parle de zara) m'a fait tourné la tête et elle termina grise, un style pioché dans les 80's et pour un prix psychologique de 19.99 euros: comment ne pas succomber ?!
Plutôt simple mais plutôt jolie, il lui manquait des accessoires... Une ceinture cloutée, j'hésitais entre la couleur des ballerines: noires, roses, vertes (ah nan j'ai pas ça) ? Je voulais du peps, du qui se voit même dans la nuit noire et obscure, alors j'ai opté pour mes ballerines orange corail après avoir laissé de côté les ballerines toutes fleuries... Le collier et le bracelet devenant alors une formalité.




Je suis arrivée en avance, le cœur au bord de la crise cardiaque, la gorge sèche mais avec j'avais la rage de séduire, de convaincre, de charmer. Le trajet fut des plus rapides, ma destination ?! La campagne lilloise... Un village charmant, une friterie, le bar tabac à côté de l'église, des fleurs: typique, tout y est. 20 minutes à patienter dans la voiture, je tente de garder mon self control, je me repoudre le nez pour la 1457 fois de la minute, je vérifie le rouge à lèvres, l'heure arriva... Je franchis la porte alors que les cloches de l'église sonnaient. J'esquisse un sourire parce que la couleur dominante de la société est le orange, simple coïncidence ? On était fait pour se rencontrer.
Un accueil bien chaleureux, je refuse pourtant le café et l'eau qu'on me propose. Je dois attendre, mon rdv étant en retard. J'ai le temps de m'imprégner de l'atmosphère, d'admirer l'architecture intérieure du bâtiment et ça me plait: il y a des plantes partout. Les gens sont polis, tout le monde me salue bien amicalement, j'ai envie de déposer mes bagages. Elle arrive en tee shirt et jean: syndrome du friday wear ? Surement, ils sont tous en jean en fait... Je fais tache en robe mais je me sens trop working girl.
On s'installe, on se présente, je suis sous le charme... On rigole même. Je pense être dans la 4iè dimension, j'ose espérer qu'on me rappelle en sortant de là. Je n'ai jamais été aussi proche de concrétiser et moi je ne pense pas que sur un malentendu ça puisse marcher. Non c'est bien vrai cette fois ci: 2 heures après ce 1er rdv, on me demande de revenir. Mon petit cœur s'emballe, le début de la fin du chômage ?! Croisons les doigts pour les ptits clous, je dois rencontrer ma responsable potentielle mardi et je vais arriver avec encore plus de rage de tout croquer... Bon forcément, il me faut une nouvelle robe maintenant, eh eh eh !

C'est l'histoire d'un mec...

Qui manie le feutre aussi bien que Goran Ivanisevic maniait la raquette de son temps. J'ai toujours aimé ce joueur, son nom exotique peut être ? Bref...
Ce mec, c'est un fou de photo, j'ai du le harceler des milliards de fois quand je comptais m'acheter un polaroid: imaginez l'achat qu'on ne peut pas faire seul (e).
Ce mec, c'est grâce à lui si j'ai connu SOMA aussi: une publication de vidéos sur facebook et pouf le charme a opéré de suite: je ne suis qu'une femme faible devant des hommes en cravate.
Ce mec, je l'ai toujours adoré en fait. On dénombre combien de jaloux là ?
Ce mec bourré de talents qui me fait toujours rêver avec ses dessins et que je n'arrive toujours pas à soudoyer pour en avoir un, ben il expose... Sur Paris ! Je me tâte à faire le déplacement, dommage que la SNCF n'ai pas un super tarif chômeur. En y repensant, c'est la classe de dire que j'ai un copain qui expose... Vous n'avez pas de copain qui expose vous ? La lose, je vous plains.

Beaucoup de romantisme, pas mal décalé, on prend vite plaisir à se plonger dans ses dessins et je peux mettre ma main à couper que vous succomberez aussi à son charme.


Crédit photos: artémédia
Les vacances qui approchent, je suis sure que vous aurez un peu de temps libre devant vous, alors n'hésitez pas à aller faire un saut de puce (ou de géant) à la New heArt City Gallery... L'expo c'est du 24 juillet au 15 septembre 2010 et il y aura de la place pour tout le monde, si si.

Article non sponsorisé.
Parce qu'il le vaut trop bien ce mec...

mercredi 14 juillet 2010

Un smoothie de grand...

Si tu es enceinte ou alors tu n'as pas encore l'âge de voter, merci de ne pas lire la suite...Ou alors tu jures sur la bible que tu feras ce smoothie sans mettre le moindre millilitre d'alcool dedans, dans ce cas tu peux continuer cette pieuse lecture.
Une envie de fruits, de frais et un mixeur qui trainait sous 10 mètres de poussière, je me mets à faire des smoothies depuis 2 jours... C'est surtout que je me remets petit à petit d'un échec cuisant: j'ai voulu faire des spritz (l'apéro hein, pas les biscuits qui donnent du gras dans les fesses) et c'était comment dire... Beurk ! Je n'ai pas compris: j'avais pourtant du campari, du perrier et du vin blanc sec mais c'était à vomir. Donc Flou, si tu passes par ici, pourrais tu me laisser une recette en commentaire ? Grazie...
Ouais je sais, ma vie est super excitante et vous me jalousez, vous suez derrière vos pc pendant que je me la coule douce en cette période estivale. C'est surtout qu'il me faut lutter contre la chaleur dans 36m2, la recherche du Graal: le frais. Du coup j'ai jonglé entre banane pamplemousse et autre jus d'orange, quand j'ai eu l'idée de mixer framboises melon orange et basilic et j'ai surtout eu envie d'y ajouter une petite note acidulée: du limoncello. Ne manquait plus que le shaker, quelques mâles surexcités au bar et j'aurais pu me prendre pour Tom Cruise en moins poilu...
Les quantités pour deux beaux verres, voire trois...
- 1/4 de melon
- 1 belle poignée de framboises surgelées
- 2 oranges à jus
- qq feuilles de basilic (complètement optionnel)
- qq gouttes de limoncello
On fait une purée de melon et framboises, on ajoute le jus des oranges et on mélange. Pour le limoncello, alors là be careful les amis: quelques gouttes suffisent, sinon ça altère complètement le goût et on ne sent plus du tout le melon. La version sans limoncello est aussi très sympathique...

Non ce n'est pas un gazpacho à la tomate, non non...

Ce n'est pas excitant visuellement parlant, mais...

C'est vraiment trop bon.

Bon ok, ce n'est absolument pas ragoûtant.

vendredi 9 juillet 2010

C'est déjà fini...









J'ai eu droit à MA journée, MA soirée alors que je ne m'y attendais pas, imaginant passer une journée relativement calme... Alors quand l'interphone retentit à 08h15 avec la livraison d'un bouquet de fleurs en bonbons, je me suis dit que la journée commençait bien. J'avais envie de me faire un café et d'aller me recoucher en lisant les premiers messages reçus mais l'interphone retentit de nouveau à l'heure fatidique: 08h35... Je pensais entendre la voix d'un livreur mais non, cette voix c'était celle de ma mère alors j'ai fondu en larmes. Je n'étais pas démaquillée, une barrette à fleurs improbable dans les cheveux, un bordel innommable dans l'appartement mais je m'en fichais, trop heureuse, trop surprise...Ils étaient là: mes clones en plus vieux et Amandine. Des ballons en forme de cœur pas gonflés à l'hélium, le café chaud dans le thermos, le jus d'orange dans la glacière et les petits pains aux raisins plein de calories, moi qui peinais à trouver un mouchoir pour sécher mes larmes. Ma mère me tend une enveloppe verte, ce que j'y vois à l'intérieur me confirme qu'elle a des doigts en or: admirez la jolie pochette brodée et entièrement montée par elle.

Si la journée avait dû s'arrêter à ce petit déjeuner, j'aurais été comblée mais non... Balade dans Lille, une fois douchée, maquillée et à peu près apprêtée. Amandine nous a rejoint pour le déjeuner, son amoureux plus tard. Pas de champagne d'anniversaire mais un mojito d'anniversaire et beaucoup de rires, sourires... Un partage de crêpe au nutella, un café et un cadeau qu'on me glisse sous le nez. Une boite, un IPAD n'aurait pas pu s'y glisser (ou alors en 2 morceaux)... Encore mieux: un fisheye 2 ! Le truc qui fait tellement plastique qu'on se demande si ça fonctionne vraiment, j'étais trop heureuse ! Un papa macgyver qui charge la pellicule et je fais les premiers shoots, j'oublie qu'il faudra attendre que la pellicule soit développée pour connaitre le résultat final.

Il faisait de plus en plus chaud sur Lille mais nous sommes rentrés à pieds chez moi et la san pellegrino était fraiche... Une douche rapide plus tard, une jupe encore plus courte que la robe portée dans la journée et direction le Vieux Lille pour découvrir un vin espagnol: Navarra... Ça change du Lambrusco, c'est bon, surtout avec de la tapenade et autres fromages bien grossissants. Les terrasses bondées, il y avait une vraie ambiance de vacances...

Il faisait beau, il faisait chaud et j'ai passé une journée formidable. Et parce qu'ils passent souvent par ici: je suis encore toute émotionnée par la journée et la soirée qu'on a passées ensemble et je trouve difficilement les mots pour vous remercier comme il se doit. Je ne m'attendais pas à tout ça, oui Amandine je verse ma larmichette. Une famille aussi formidable que la mienne, pas sure que ça existe...
♥♥♥♥♥

jeudi 8 juillet 2010

Putain... 30 ans.

Certains me diront que mes cellules ne se régénéreront plus jamais (enf****), d'autres diront qu'il est temps que je rencontre l'amour (ou que je trouve un job)...
J'arrive à l'âge de raison, et je me sens telle une Bridget Jones croqueuse d'hommes en culotte de mémé. Est ce que j'ai peur ?! Pas franchement... Je peux même confesser que je suis heureuse de passer dans un nouveau cycle, c'est le début d'une nouvelle ère et j'ai hâte de découvrir ce qu'il m'attend: une entrée dans un couvent ?! Ça créerait beaucoup trop de suicides chez les hommes, je vais m'abstenir...
Finalement j'ai vécu plein de choses, heureuses et malheureuses et ça a fait de moi celle que je suis. J'ai vu les États Unis, j'ai pris de la drogue (rhooo je déconne), j'ai eu un max d'amoureux (2)... J'en ai chié aussi parce que j'ai aimé plus que de raison. Même si j'ai perdu plusieurs fois le contrôle de la situation, je l'ai repris aujourd'hui et mon bilan est facile à dresser: oui je suis une femme épanouie et heureuse... Mais je rappelle toujours que si tu es grand, brun et trop trop riche, alors l'épanouissement n'en sera que meilleur, so poke me boy !
Je ne suis pas déçue ou triste d'être sans job, sans mec, sans enfant aujourd'hui, je n'ai jamais eu de plan de vie: je n'ai jamais su me projeter de toute manière. Nouvelle ère, début d'une toute nouvelle vie ? Je prétends le croire et je l'espère... Quand on a bien vécu, on aspire un jour au calme, à une vie moins baroudeuse: mon dieu, je parle comme une vieille...
Non mais vraiment, je n'ai pas vu le temps passé.
Aujourd'hui, j'ai 30 ans...

lundi 5 juillet 2010

Si j'avais un Iphone...

J'ajouterais sans attendre une seconde l'application Happeal... Mais c'est quoi donc ?! Ce qui va révolutionner la vie triste et sans surprise de millions de solos français dans les semaines à venir. Beaucoup de spontanéité, d'imprévus: c'est ça aussi la rencontre façon street dating.
On est pour beaucoup passés par l'étape du premier rendez vous qu'on attendait depuis des semaines avec le prince charmant/princesse charmante rencontré(e) sur meetoc, celui pour lequel:
- On se change 15 fois: alternant robes, jeans ou jogging.
- On doute entre les escarpins tueurs de pieds ou les ballerines ratatineuses de silhouettes.
- On maudit d'avoir opté pour les cheveux lisses alors que les cheveux ondulés c'est plus glamour.
Et on se passerait bien de toutes ces questions existentielles... Encore plus quand on pense au nombre de fois où le rendez vous a coupé court, ok je parle surtout pour moi !
Qu'on soit dans le bus, en train de prendre le thé chez mémé, en pleine conversation avec Michel le coiffeur pendant une mise en plis ou qu'on essaie un nouveau push up, on est automatiquement mis en relation avec des profils (qui nous correspondent) et se situant dans un rayon géographique très proche... Et la proximité, y a pas à dire mais c'est vachement chouette.
De là, on se téléporte vers un chat et plus si affinités. Pas besoin d'être connecté 24h/24, Happeal travaille non stop, si ça ce n'est pas de l'esclavagisme...

Ca enlève le côté formel des rencontres virtuelles, c'est ludique, pas prise de tête, c'est aussi pourquoi j'ai décidé d'en parler. Happeal c'est sur iPhone et rapidement sous Android et Blackberry. Les 2 premiers mois sont gratuits (ouh la chance!). Abonnement mensuel (1,99€) le mois suivant. C’est le prix d’un café... Et en ce moment, un IPAD par semaine à gagner, je dis ça je ne dis rien !


Article sponsorisé