mercredi 29 décembre 2010

J'avais 18 ans...

Je tapotais le clavier de mon netbook, surfant sur télérama et national geographic... Bon en fait, facebook et danstonchat (vas y, clique Maman, tu vas rigoler!). Une recherche facebookienne plus tard et son profil se présentait à moi, ce sourire aussi charmant, ces cheveux toujours aussi inexistants. J'ai surement esquissé un grand sourire, mes joues ont encore une fois rougi.

Je n'ai pas osé tout de suite lui écrire, me demandant quoi écrire à part le sempiternel 'Comment ça va depuis le temps ?!'. Je me suis lancée le jour suivant, laissant mes doigts libres d'action, le résultat n'était pas mal et j'ai envoyé. Plusieurs jours ont passé, ma boîte restait vide.

Aujourd'hui il a répondu... Moi hésitante à ouvrir ce mail. Ça vous arrive de mettre des plombes à ouvrir un mail vous ?! Je déteste ça, ça n'est qu'un mail ! Je voulais prendre mon temps pour savourer ses lignes mais je les ai dévorées en quelques secondes: une vorace! J'ai rigolé, il est resté fidèle à lui même. Il me tutoie, je le vouvoie, non rien n'a changé.

Pas une once de séduction, je n'ai toujours eu que de l'admiration pour lui ou alors j'étais frappée par le syndrome 'lycéenne amoureuse de son prof' sans le savoir... Un déni d'amour ?!
Il fut le premier à me parler des États Unis, le premier qui rendit la géographie un peu sexy, il fut source d'inspiration. Un prof que je n'ai plus côtoyé depuis 12 ans, le choc passé d'avoir de ses nouvelles, faut il franchir le cap et aller prendre un café ?! J'aimerais tant, il est ce que j'aime chez l'être humain (homme/femme): le savoir, la connaissance. ABSOLUMENT RIEN DE SEXUEL !
Il fut donc mon prof, le prof à la Patrick Bruel, celui qui vous écoute, celui qui comprend, celui qui engueule, celui qui soutient, celui qui donne envie de se surpasser...

J'ai mon petit cœur tout en émoi mais pas l'émoi amoureux, juste le bonheur de retrouver une personne qui a compté...

Ballerines are back...



Elles risquent de me haïr sur 15 générations... Et elles auraient bien raison !!!






Elles, ceux sont mes nouvelles ballerines HELLO KITTY... Et celles qui vont me haïr ? Mes petites nièces ! Bon d'accord, je suis en super mode régression ces derniers temps: j'ai acheté une tasse, après une petite valisette pour mettre mon sandwich. 15 ans après tout le monde, je suis touchée par la folie du chaton à nœud nœud, j'ai toujours eu le neurone un peu longué...

Voilà, je suis la plus heureuse des trentenaires ce soir... Comme si la magie de Noël n'était pas partie. Je vois vos gros yeux, comment emballer avec ces ballerines aux pieds ? J'en sais rien, mais qu'est ce que j'aiiiiiiiiiiiiiime bien !!!!!!!

mardi 28 décembre 2010

Ouh c'est moche...

Mais je ne sais pas comment te le dire.
Ni désir, ni envie, non tu m'indiffères.

Je ne t'aime pas et je n'ose pas le dire.
Peur de quoi ?!

Je ne t'aime pas, tu n'es pourtant ni laid ou moche, mais je ne t'aime pas.

NOOOOOOOoooooooon je t'aime pas.
Te garder me servirait à quoi ?

Ce n'est absolument pas ce que j'ai ressenti en ouvrant mes petits cadeaux de Noël, l'année dernière BOB rejoignait ma cuisine et cette année... Euh ben, les parents de Noël m'ont un petit peu oubliée: je les vire de mon testament ?!!!
Bref, pour en revenir à nos cadeaux, quand on voit le trafic démentiel sur 'priceminister' et autres sites d'enchères, on se rend compte à quel point faire une liste peut s'avérer important, voire vital, pour éviter de recevoir un collier en coquillages ou un cendrier en pâte à sel.
La liste évite aussi tout effet (kisscool) de surprise mais risque de déception: ZERO. Mais il faut savoir ce qu'on veut hein !
Ce qui m'agace surtout, c'est de voir que ces mêmes cadeaux n'auront pas eu la chance de séduire, d'attiser... Non non, on les revend à peine les convives partis !

On peut être déçus mais pourquoi se ruer sur internet pour revendre le Graal non désiré ?! Un simple: 'Euh, je l'ai déjà !' Ou alors 'Je ne m'attendais pas à ça!' ne suffirait pas ?!
Non finalement il est bien cruel de dire à son interlocuteur que son cadeau est tout pourri/nul à chier. Le 'Ca va, t'aimes bien ?' résonne alors dans les oreilles, la gorge se fait sèche, la réponse franche 'Oh oui, super dis donc !'...

Finalement, c'est ça aussi l'esprit de Noël... Ne pas blesser l'autre et esquisser un sourire (colgate) de façage en retenant nos larmes. Un cadeau qui déplaît est aussi un cadeau offert de bon cœur... Never forget.


Bon sinon et mis à part du sexe, de la drogue et de l'alcool, z'avez eu quoi de beau ?

vendredi 24 décembre 2010

Ma vie, un drame, une tragédie, un blockbuster ?

Il est venu ce matin. On ne travaille pas vraiment ensemble, du moins on est censés avoir des rapports 'client/fournisseur', mais il vient de temps en temps.

Il est venu, je l'ai attendu et je suis cruellement déçue... Shit !
Il tenait dans sa main un sac en papier avec des pains au chocolat que je réclamais depuis des jours. En fait je réclamais surtout des croissants, je hais les pains au chocolat mais son geste, cette petite attention m'a charmée. Une discussion furtive, une réunion m'attendait mais mes joues ont eu le temps de rougir, mes jambes trembler.

A son autre main, j'ai vu ce que je n'avais jamais vu jusqu'alors... Ce petit bout de métal doré, rond, ce petit bout de métal marquant son attachement à quelqu'un, bref vous l'aurez tous compris: il avait une alliance. Beaucoup le savent, je suis un radar à alliance: c'est la première chose que je regarde chez un homme, après sa situation financière, ses chaussures et ses fesses.
Je peux jurer mais pas cracher
(parce que c'est sale) que PAS UNE FOIS il n'a évoqué une femme, des gosses ou quoique ce soit qui ai attrait à une vie de famille... Sinon, j'aurais pris mes jambes à mon cou et je l'aurais fui comme la peste.
Malaise complet.

La réunion fut longue et barbante et je me remémorais cette vision (d'horreur), ses petits messages... Moment plus douloureux en voyant cette boite mail pleine. Je ne réponds pas ou alors de manière très professionnelle, il m'appelle. Il me souhaite un bon réveillon, il espère que je sois gâtée, il a esquivé ma question: 'Tu fais ça en famille toi ?!'... Il a raccroché, il a rappelé.

J'ai alors appris qu'il était le géniteur de 4 enfants, si si. Trop lâche pour le dire ? Trop heureux de voir qu'avec son grand âge (pas retraité non plus hein, Tommawack), son charme agissait ?! Je suis en colère les amis. Mais pas surprise.
Maintenant, à moi de tromper l'ennemi, lui faire comprendre qu'on ne se joue pas de moi aussi facilement... Et le premier qui ose écrire 'Peut être qu'il va quitter sa femme', je lui balance ma tasse de thé à la figure.

Life's a bitch... A moi d'enfiler ma robe de pétasse h&m (à 14,95 euros) et aller chopper du Père Noël ce soir !
TDS !
sauf le daddy trop cool

mercredi 22 décembre 2010

Come here, kiss me... Now !

Et c'est à peine si j'arrive à me le dire: 'je suis amoureuse, je suis amoureuse ! Et toc, moi aussi ça m'arrive !'.

Je suis tombée amoureuse deux fois et ce sont ces mêmes papillons que je ressens dans le ventre, cette envie de séduction massive, ces jupes qui se font plus courtes, le regard un peu plus smocky... Merde je suis vraiment amoureuse.
Je suis amoureuse ou si je ne le suis pas, il m'intrigue, il me fascine, il me donne envie. Mais je ne le connais pas, amoureuse de quoi alors ? Je ne sais rien de lui mais il me fait rire, il fait rougir mes joues, il me trouble.

Je suis vraiment sérieuse cette fois, je ne suis pas amoureuse d'un robot ménager ou du nouveau slim suédois, non je parle d'un homme... Un homme avec ses rides, ses cheveux gris, un homme quoi !!

Mais si tout était rose dans le monde des bisounours, je ne viendrai pas chercher de l'aide ! Maintenant, il est temps d'agir et d'installer une tactique pour apprivoiser la bête. Parce que force est de constater que 'passer à l'action', ce n'est pas inné... Ben non. Mais j'aime cette maladresse, la sienne, la mienne, ses insinuations, ses mails envoyés pour ne rien dire, ses appels qui durent plus que de raison. Le charme de la séduction ?! Ces moments si légers qu'on en oublie la plus grande des contrariétés...

Je me relis, je souris. Il n'y a pas de recette miracle, le temps fera le reste. Il y a eu ce premier 'Je t'ai manqué ?!' resté sans réponse par timidité. Je n'ai pas osé lui dire que oui, une journée sans lui m'a paru être une éternité... En amour, je suis vraiment une quiche en fait, autrement dit une sous douée ! Mais je me soigne...

A quand le premier baiser ? Et s'il ne venait jamais ? Du travail à l'amour, il y a bien plus qu'un simple pas à franchir... Qui de nous deux osera le franchir en proposant un café ?

He is back !
(lui seul comprendra)

dimanche 19 décembre 2010

Sans luge, ni raquette...






Première photo en 16/9...




Et sans me retrouver les fesses au sol !

lundi 29 novembre 2010

I want your sex... ( sex story inside, ou pas)

Ou comment parler du cas 'plan cul'... Maman, ne se te sens pas obligée de lire ce billet.

A énorme rupture qui te fout la haine sur 14 générations, qui te donne envie de changer de look (pour une nouvelle vie), voire de changer de camp parce que les hommes c'est tous des salauds (sauf mon Daddy trop cool), j'ai répondu d'une manière pas super glorieuse: j'ai eu des histoires sans lendemain, ou les bien nommés 'plan cul'. Sans forcément y trouver une vraie compensation ou un réel réconfort et en simulant plus que de raison: le sempiternel: 'Vas y Francky c'est bon'.
Le cul pour le cul, on peut dire ce qu'on veut mais c'est pourri. Je m'en suis surtout rendu compte quand un beau matin de mai (+ migraine, gueule de bois et tutti quanti), j'ai retrouvé un mâle dans mon lit qui ne parlait pas un mot de français et surtout sans aucun souvenir de la nuit passée: ça fout mal.

Ma vie sexuelle de ces derniers temps relève de l'électrocardiogramme plat, du 0 sur l'échelle de Richter, de l'abstinence... A se demander si finalement je ne pourrais pas retrouver une certaine virginité. Rassurez vous, moi ça me fait drôlement chier, mais célibataire un jour, célibataire toujours...

Finalement le plan cul ça tue bien l'ennui, on a toujours un numéro sur lequel compter quand les soirées d'hiver se font froides.
Mais le plan cul ça donne quoi sur le long terme ?! Ben rien, c'est le principe même du plan cul! On se voit, on prend un verre, on se touche, on finit au lit, on se dit aurevoir, on s'oublie: simple et efficace me direz vous.

La question se pose pour moi après un délicieux message reçu hier: 'Je suis sur Lille le 16, tu m'héberges ?'... Ou comment un vieux plan cul a envie de se taper l'incruste sous ma couette. Traduction: 'Pas envie de prendre une chambre d'hôtel et envie de baiser'... Y a pas écrit IBIS sur ma porte.
On reconnait aussi le plan cul pour son sens inné de la poésie, des phrases émotionnantes, des longs discours...

Un message qui restera sans réponse de ma part, un signe que cette époque sexuellement débauchée est vraiment terminée. Et là, le mythe de la nana libérée se brise à tout jamais. Ou alors serait ce parce que j'attends l'arrivée du PPC and co: perfect plan cul and co?!

dimanche 21 novembre 2010

C'est l'histoire d'un nuage...

C'est l'histoire d'une nana qui a un blog que j'ai découvert il y a un an qui regorge d'idées, de voyages, de littérature... Et surtout d'une nana qui avec ses petites mains créa ce nuage 'Plic Ploc' pour le plus grand plaisir de mon cou... Bon et surement du cou de nombreuses bijoux addicts.
Je savais qu'elle travaillait sur un projet depuis quelques temps, mais c'est surtout en voyant le shop on line que j'ai compris la hauteur de son talent. Encore une fois, la magie du net, la magie des blogs, ça génère de jolis moments...






Simplicité, romantisme, délicatesse... Jamais un bijou n'avait suscité autant de mots quand je l'ai vu et que j'ai validé mon panier (pour le plus grand plaisir de mon banquier). J'adore les bijoux, j'en achète souvent: mais sans réel coup de cœur, juste parce qu'ils sont jolis. Mélanie nous ouvre la porte vers un univers joli, poétique et comme elle le qualifie si bien 'expressif'.
Un bijou comme reflet de sa personnalité ?! C'est ce qu'on pourra dire de mon nuage: oui je suis une rêveuse, oui j'ai la tête souvent dans les nuages... J'adore, je kiffe, je suis amoureuse..

Comme tu passeras par ici Mélanie, je te souhaite 'amour, gloire et beauté'... Et un paquet de virements paypal !!!


Non ce n'est pas un billet sponsorisé !

mercredi 17 novembre 2010

Flash back...

Mes parents partent manger du riz et des nems pendant 2 semaines au Vietnam, alors j'ai la maison, les pépito et le banga rien que pour moi ! On se fait une boum ??? C'est surtout que j'ai la clé de leur palace parce que je vais devoir aller visiter Mimi la chatte pour éviter qu'elle ne suicide en se jetant de la mezzanine parce qu'elle n'aura pas eu sa pâté friskies...

Les voir partir, moi ça me replonge vachement loin (genre fin des 90's), quand ils partaient en vacances et qu'on avait la maison avec ma sœur. Je préférai quand ma sœur découchait (ça c'est dit) et que je pouvais inviter les copines, je te vois rougir Stef...
Une année, pour évoquer la disparition d'une bouteille de gin fizz toute prête, j'ai prétexté que cette dite bouteille était tombée en prenant un yahourt: l'excuse à deux francs, je sais. Mais sans permis et sans argent, pas facile d'acheter de la divine boisson alcoolisée.
Une autre année, ce fut la bouteille de cognac qui trinqua. Le cognac quand tu n'as pas picolé, c'est ce qu'on a fait de pire: beurk.
Et une fois également, j'ai cru qu'Amandine allait me péter la gueule, elle sait se montrer violente. Toujours avec Stef, on avait tapé dans la bouteille de ricard pour se faire ce qu'on appelle un 'ricard noisette', je n'ai jamais compris pourquoi on avait appelé ça ainsi. On chattait sur caramail avec notre mixture qui puait à 10km à la ronde et le verre se renversa sur le tapis de souris, il va sans dire que la souris avait pris un coup et le sermon qui s'en suivit par ma sœur salé... Ouais, allez faire disparaitre l'odeur du ricard en un claquement de doigts !!!

20 ans à l'époque, alcoolique. Ce qui me rassure, c'est que rien n'a changé depuis et que je leur siffle une bouteille de bière de temps en temps... Heureusement qu'ils ne liront jamais ce billet hein, sinon je risquerais d'être privée de sortie !

J'ai donc deux semaines devant moi à occuper... Qui a des trucs indécents à faire, des expos, des cinés, des parties de rami où je peux me taper l'incruste ?! Ben oui, je suis une vieille fille qui passe beaucoup de temps chez ses parents alors vous comprendrez bien que je tente de lutter contre l'ennui... A vot' bon coeur !

dimanche 14 novembre 2010

Pour la modique somme de 52 000 euros...

On peut partir loin en vacances et louer un mobilhome à Berck,
on peut rêver d'une voiture mythique: une 205 GTI,
on peut acheter un nouveau canapé suédois et une table basse LACK.

Il y a 3 ans, je quittais mon petit appartement de Croix, ville super bourgeoise de la Métropole Lilloise, avec même des gens qui y paient l'ISF. Aujourd'hui, je suis follement amoureuse de Lille mais s'y loger est une toute autre histoire. Mon bail locatif arrive à échéance mais renouvelé... Mon appartement est bien mais trop petit, les armoires crient SOS, la cuisine est digne des mini pouces et moi j'en ai marre de payer un loyer (presque) dans le vide. Mais j'aime Lille et je veux continuer à y vivre.

Avec 52 000 euros, on ne peut absolument pas acheter un logement digne de ce nom, nan nan. Après un vague espoir pour un loft (qui tue sa mère), j'ai bien vu que mes finances me faisaient défaut et que certains critères devaient être revus et à la baisse: je dégage la piscine ou le jardin de 670 m2 ?! Plus sérieusement, 52 000 euros c'est ce que je peux emprunter sur 25 ans à la banque... Je vois vos petits yeux tout ronds, non je ne gagne pas super bien ma vie en plus d'avoir un job qui me convient à demi mot. Mais j'ai un CDI !

Les recherches sont donc super incroyables: entre un parking de 15m2 dans le Vieux Lille ou un complexe 'étang+caravane' du côté d'Armentières, je vis un rêve éveillée.... Je me vois bien avec une canne à pêche et un sandwich au pâté, promis je ferais une fish party.

52 000 euros c'est ce que coutait mon appartement de Croix en 2003. C'est là que je prends conscience de la flambée violente des prix, des gens qui veulent s'en mettre plein les poches. Alors bien sur que j'emprunterai d'avantage parce que j'ai des parents qui interviendraient dans l'affaire, parce que j'ai un papa dans la banque. Mais si j'avais été seule, 52 000 euros aurait été mon plafond maximal et donc l'accession à la propriété impossible...

Alors la recherche du prince charmant est légèrement en stand by, y a des priorités dans la vie ! Ou alors, je fais coup double et le futur intérimaire de mon cœur se glissera dans la peau d'un agent immobilier.

Stéphane PLAZA, poke me !

jeudi 11 novembre 2010

I wasn't in Barcelona.... But !

10 mois... 10 mois que tes mots résonnent encore dans ma tête, que mes yeux sont encore plein d'étincelles. 'I am yours eternally', pourrais je dire... Et aujourd'hui tu es là, si !

All I have ever wanted is here in my lecteur DVD... Ouais, parfaitement les amis ! Me voilà encore dépouillée de quelques euros mais avec le sentiment du devoir accompli de tout bon fan: j'ai acheté le DVD du 'Tour of the Universe' de Depeche Mode. Ou alors devoir accompli de tout bon mouton, c'est au choix hein.
Ce que j'en pense ?! Une pure daube... Nan je déconne ! Moins de chichis par rapport à 'Touring the Angel', moins d'effets spéciaux et de boules à facettes qui piquent la rétine au bout de 5 minutes de visionnage. Retour au naturel et c'est carrément mieux... Ou pas.
Je me remémore ces moments d'excitation où les bras en l'air j'ai pu assommer Stef ou le parrain, ces soirées à réviser les classiques, ces tee shirts que j'ai amoureusement confectionnés, ces nuits blanches la veille du d-day... Mais je m'égare là.

La playlist est très bonne (même si celle de Liévin était meilleure), le son un peu hasardeux de temps à autre, (sur la première chanson, ça pue) le cadrage intéressant (mais pas tout le temps)... Mais je reste sur ma faim, qui l'aurait parié hein ?!
Y a beaucoup trop de flous pseudos artistiques: le flou c'est joli mais en abuser ça craint.
Des plans chiants: j'adore voir les fans en délire, mais alors les scènes où on voit des appareils photos en cascade, faudra m'expliquer l'intérêt.

Je suis surtout prise d'un sentiment troublant, voire carrément angoissant: je ne ressens rien. Finalement, ce DVD ne m'inspire ni excitation ni déception, il me rend juste un peu plus nostalgique que je ne l'étais... Je ressens une sorte de lassitude, non vis à vis du groupe mais vis à vis des chansons. Prenons les 3 derniers DVD, elles sont toutes ou presque interprétées à la seconde près de la même manière. Finalement si j'avais les yeux bandés je ne pense pas que je pourrais les différencier.
Serait ce la fin de ma love affair avec la bande à Gahan ou alors simplement l'achat inutile ?! Un DVD à voir, mais surement pas à revoir... Du coup je peux le revendre à qui ?

Ouf, 'Fly on the windscreen' reste un vrai bijou...

On peut alors s'interroger sur l'utilité du DVD post concert et ce qu'on en attend. Je suis à mille lieux de l'émotion encaissée à Liévin, de la larme qui habitait mes yeux à cet instant. Mais aurais je écrit la même chose si j'avais été à Barcelone ?!
En trifouillant dans ma mémoire de poisson rouge, je suis convaincue que le live de Bercy de 2001 reste (avec le Devotional) le meilleur DVD du groupe: simple et efficace.

There's no turning back, I'm devoted...

dimanche 7 novembre 2010

Moi, mon job, mon CDI et mes questions...

Certains l'ont constaté, d'autres me l'ont fait remarquer: oui j'ai déserté ce blog, mon espace à moi, rassemblement de mes états d'âme (Éric)...

Le moment était sérieux mais la réunion se terminait au bureau et le week end approchait. L'annonce fut brève, directe et surprenante: le big boss me proposait de transformer mon CDD en CDI devant une assemblée (pas en délire) de 4 personnes. Joie intense après quelques passages difficiles et stressants, et en prime des irruptions acnéiques d'ados et des envies tabagiques: so glam' hein ! Mon job est stressant, très administratif, pas franchement sexy et à l'opposé de ce que je suis et peut être de ce que j'aimerais faire. Mais en ai je la moindre idée ? Certains rêvent d'un métier dès leur plus jeune âge, je n'ai jamais rêvé de devenir vétérinaire ou médecin. J'aimais juste jouer à la Barbie et avec les garçons par la suite... Le choix de mes études a été très hasardeux, est ce que j'en fais les frais maintenant ?

Cette annonce remonte à 3 semaines et cette joie a laissé la place à de nombreuses interrogations, forcément... Minuit approche, l'envie de rester sous la couette demain matin est oppressante comme une envie de fraises pour une femme enceinte en plein mois de novembre.

Cette vie professionnelle n'a jamais autant occupé de place dans ma tête, mes envies, mes ambitions, mes rêves remettent chaque jour en question ce que beaucoup voient comme un eldorado: le CDI. Un appartement ? La sécurité de l'emploi ? Oui mais à quel prix ?! Mon job me convient il réellement ?! Est ce que j'aime ce que je fais ? Combien êtes vous à aimer votre job ? Puis je refuser ce que je recherchais après tous ces mois ? Je me reproche alors ma fainéantise passée et ces études que je n'ai pas eues envie de faire... Mais déjà à 18 ans je ne savais pas quoi faire. J'aimerais me réveiller un matin, avoir un déclic et changer de vie...

lundi 11 octobre 2010

11102010

Il a rejoint la dream team, il pèse 4.200 kilos, il va faire passer de nombreuses nuits blanches à ses parents...



Il aurait pu s'appeler Désiré mais finalement il s'appelle Maxence...

To be continued !

dimanche 10 octobre 2010

Long time ago...

L'ambiance était chaleureuse, les rires fusaient au bar, des tables en formica, les banquettes en skaï défraichi... L'odeur inhabituelle: un mélange de frites, de cigarettes et son odeur. Ce fut un jour de découverte pour la grande gastronome que je suis, pas une seconde je n'imaginais qu'on me décernerait un titre pour cela. Il était énorme, gourmand dans son emballage en papier, emballage qui devint vite gras. Une première prise en main catastrophique, la deuxième plus méritante, je m'apprêtais à basculer dans le monde merveilleux du... BICKY BURGER ! On ne parle pas de repas gastronomique de haut niveau mais pour moi, aller manger un bicky c'est comme aller chez h&m: c'est la fête.
On était revenus ce midi là au bureau, lourds comme des cachalots, la digestion pathétique mais le moment était à graver d'une pierre blanche: j'étais devenue 'Queen Bicky'. Ni oscar ou césar à la clé, juste le respect de mon appétit par de vrais connaisseurs. Le bicky ce n'est pas un burger comme un autre, il en impose visuellement et estomaquement parlant.

Forcément quand Stef et Cricri d'amour filent à Bruges au Musée de la Frite et qu'ils concluent la visite par un Bicky, je les hais et les renie à vie... Jusqu'au jour où Stef propose de faire des bicky made in France, ouais je suis une femme faible qui succombe facilement à la tentation.
Une odeur que mes narines n'avaient pas senti depuis des années, les cornichons croquants, tout était comme dans mon souvenir: 'comment que je vais faire pour manger tout ça ?!' A part une frite ou deux, tout y est passé... Au grand damne de mon régime et mon slim T34, mais c'est l'hiver et il serait temps de faire des réserves !



All products made in Delhayze
Au centreOn est artiste... Ou pas !



Ou comment la Belgique se tapa l'incruste un soir de foot...

mardi 14 septembre 2010

Rock the steack...

J'ai toujours pensé qu'entretenir de bonnes relations commerciales entre clients et fournisseurs passait par des cadeaux dignes de ce nom... Aujourd'hui, une belle boîte m'attendait en fin de journée. Plusieurs possibilités:
- Je garde tout pour moi en cas de déprime 'je serai célibataire toute ma vie donc je picole et je mange' le soir de la Saint Valentin.
- Je garde la boîte comme cadeau pour un mariage (encore des fous) prévu l'année prochaine.
Voyez comme les possibilités sont nombreuses... Ou alors je tente de revendre chaque lot individuellement sur ibé ?! N'empêche que ça fait bien plaisir au bidon tout ça !!



Un vin souple... Mmm. Ca veut quoi en fait ?


Celle là je l'offre de bon coeur !

Tout ça pour parler d'un tout autre sujet... Parce que vu le niveau de la première partie, j'ai du perdre en audimat. Ne quittez pas les amis, plus loin dans le billet des photos de moi NUE !

Surfant sur la pasta party de dimanche, j'ai cédé et je tente l'expérience à nouveau ! Si si. Je serai la plus belle brune de la soirée si toi 'le beau Lillois que je n'ai pas encore rencontré et qui me lit tous les jours' tu désires me rencontrer, n'hésite pas... Ça c'est fait.
Mais surtout en m'inscrivant pleine de pugnacité à cette nouvelle soirée, j'ai vu une publicité qui attira ma pupille dilatée après une journée intense côté travail. J'ai cliqué et je suis tombée sur le genre de site qui me plait: La Kitchen Music. Autrement dit: cuisiner et écouter de la musique en même temps. Je vous vois venir: pas besoin d'internet pour ça, un bouquin de recettes et deezer (donc internet quand même et toc !) et le tour est joué hein ?! Oui mais non... En fait, c'est surtout de la vraie cuisine 2.0 et moi j'adore ça. Y a le côté 'je ne cuisine pas tout(e) seul(e) et j'ai presque des amis avec qui parler' et avec Abdel Alaoui on sort un peu des sentiers battus de la cuisine pour explorer des horizons carrément plus déments ( souvenons nous du poulet au coca !)
Y a la shopping list, la liste d'accessoires (pas sexuels, bande d'obsédés), une photo et on peut même télécharger le podcast et l'écouter en s'endormant... On choisit une recette en fonction du groove qui nous habite à l'instant T, du niveau de flemmardise et du budget.
Moi ce qui me plait surtout c'est la manière dont la cuisine peut s'immiscer dans la vie de chacun, aussi facilement qu'un clic, pas vous ?! J'en appelle surtout aux abonnés de picard et croque gel, ça ne vous donne pas envie là tout de suite right now ?!

Spéciale cacedédi au daddy trop cool avec cette recette qui mixe les rognons et le bon vieux rock... Alors daddy, c'est quand que tu me fais une salade en musique ?!

Ah bon j'ai dit que je postais des photos de moi nue ?!

lundi 13 septembre 2010

I did it...

Le goût du risque amène souvent à de nouvelles péripéties et cette fois ci ça n'a pas du tout loupé ! Forte de mon combat contre le célibat, j'ai franchi le pas habillée en robe Minnie Mouse...


J'ai cliqué, j'ai créé un compte, j'ai réservé et 5 jours plus tard, je me suis retrouvée à une table de célibataires pour une pasta party sous le signe de l'amour, du sexe et de la drogue (rayer la mention inutile). Il va s'en dire que j'étais un peu stressée à l'idée d'y aller seule mais surtout ne pas savoir ce qui nous attend, ça dope l'adrénaline.
Ca m'a forcément fait repenser à ma première soirée speed dating et le premier mec à se présenter à moi: 'Frédéric, 34 ans, architecte'... Ouais ouais, mais nan en fait. Pourquoi ?! Ben trop de ressemblances avec l'ex c'est troublant. Une vraie expérience ce speed dating, je suis repartie sans amoureux mais avec une amie. Et ben vous savez quoi ? Il me semble qu'il était aussi de la partie ce soir. Bref...
Un accueil chaleureux, un stewart m'amène à mon groupe, on passe devant des tables avec de charmants jeunes hommes et c'est finalement là où je ne voulais pas m'arrêter qu'on s'arrête, mauvais casting: un mec qui tente de me pécho sur meetoc (si si !!!) aux allures de mafieuso italien à la montre plaquée or, l'autre pas franchement mon genre et deux nanas super sympas. Présentation rapide à toute la table, on se fait la bise, on trinque au kir presque chaud. Il doit faire 45°, certains ne connaissent pas le déo... Le groupe n'est pas formé en totalité, je prie Sainte Rita que les derniers arrivants soient plus à mon goût, je ne suis pas une bonne croyante alors ça ne marche pas...
La soirée se passe tranquillement, pilotée par un 'référent' qui tente d'animer notre table. Je suis prête à sortir des blagues carambar... Je parle masterchef à droite, salsa à gauche mais je ne me sens pas à ma place: manque d'affinités ?? Une évidence. Je regarde les tables à côté et je les envie de rigoler d'avantage... Mais je n'ai pas envie de fuir, l'ambiance est sympa, la bouffe pas d'un super niveau, le vin plutôt agréable, je m'amuse quand même. Les heures s'écoulent rapidement, il est temps de partir.

Ce que j'en retiens ?! Énormément de positif, voire que du positif.
- On est mis à l'aise par les hôtes, les référents, les GO.
- On rencontre de nouvelles têtes qui nous laisseraient ptet indifférent dans la vie de tous les jours.
- On rigole un peu, beaucoup, passionnément...
Le seul point négatif reviendrait au lieu choisi: le Flore c'est sympa le midi sur le pouce mais pour faire naître l'amour il y a mieux. Maintenant je conçois qu'il doit aussi être très compliqué de former la table idéale, ça ne m'empêchera surement pas d'y retourner ! Si l'occasion se présente à vous, foncez sans vous poser de questions...

mercredi 8 septembre 2010

Ce n'est pas qu'un aurevoir, mais c'est un adieu...

Tu es partie, ton dernier mot fut 'Pshiit'.
Tu n'étais pourtant pas si vieille, plus forcément très belle mais tu me convenais bien avec ton gros cul.
Je me demande ce qui a conduit à ta mort: trop de real TV, trop de concerts de depeche mode et pas assez d'Ushuaia TV pour t'évader ?
T'es gonflée quand même, me faire ça un soir: le soir de 'recherche appartement ou maison'... Enfin tu aurais pu exploser, me défigurer par la même occasion mais tu as choisi une manière plus discrète.

Ma télévision vient de lâchement m'abandonner à mon triste sort de femme célibataire... Mais mais... Je vois cet incident dramatique/douloureux/insurmontable d'une autre manière, un moyen de s'occuper différemment le soir:
- squatter la télé chez le voisin
- squatter la télé chez mes clones en plus vieux
- squatter la télé trop high tech chez un ingénieur de chez philips
- prendre des cours de harpe
- faire des mots croisés
- tenter les pastas party (si si, ce dimanche soir même)
Ou alors, prendre le parti de vivre sans télé pendant quelques jours, voire quelques semaines... Avec comme seul contact avec le monde actuel: mon netbook et son écran de 1 pouce. C'est un défi qu'il me plait de relever, je pense en avoir un minimum dans le ciboulot pour m'occuper sans m'ennuyer... Ou alors je craque, je vends un rein et demain je m'offre un écran plasma qui sera trop grand pour mon salon de 3 m2.

Et vous alors, une vie sans télé c'est comment ? Invivable ? Votre quotidien ? Une raison pour se suicider ?!

mercredi 1 septembre 2010

Tchiki boum...

Il y a des rencontres que l'on n'oublie pas, des personnes qui font battre les cœurs et puis il y a eu toi...
Un jour d'été, tu as disparu sans dire mot, sans laisser un quelconque indice... Je ne te voyais plus. Je ne pensais pas te retrouver devant un café aussi bêtement, je me suis pincée pour m'assurer de ne pas divaguer. Toujours aussi séduisant, le sourire ravageur... Plus décontracté qu'à l'habitude, la cravate t'allait si bien pourtant, te reverrais je avec ?
Un léger flottement dans les jambes, j'avais de la peine de te quitter de nouveau aussitôt mais le travail m'appelait. Le temps jouait contre nous, ce fut court mais ce fut magique. La vie est si cruelle qu'elle m'impose un choix: toi ou lui, lui ou toi... Je n'ai pas envie de choisir mais pourrais je jouer d'infidélité pendant longtemps ? Tu m'accompagnais le soir, tu as choisi une case matinale maintenant...

Bonjour Monsieur...

D'ordinaire j'écoute la radio le matin comme vous le savez: Jean Michou Apathie. Allez savoir pourquoi j'ai eu envie de mettre la télé ce matin: je suis une fille qui déborde de bonnes zidées...
Certaines fantasment sur PPDA, d'autres sur JP Pernault et ses rubriques du terroir, moi c'est Olivier comme on l'appelle avec Maman, genre: 'Attends je raccroche, y a Olivier à la télé', deux vraies groupies. Maman, te voilà donc à nouveau comblée: he's back sur Itélé !!! Bon c'est la matinale mais rien que pour sa belle gueule, je suis sure que tu seras debout à 07h !

Maintenant choisir entre lui et Jean Michou va se relever être une tâche bien difficile. Ou je garde les deux ? Mais l'accent du sud de Jean Michou en pleine interview politique, c'est quand même quelque chose...

mardi 31 août 2010

Toute première fois...


Marine's tigresse foot !
Des fois je reçois des mails de menaces ou d'insultes,
Des fois je reçois des déclarations qui font battre mon cœur,
Des fois je reçois des propositions de partenariat,
Et cette fois ci j'ai reçu une invitation...

Un soir de pluie et de brouillard fin juillet, c'est un rayon de soleil qui a envahi mon palace de 36m2. Un mail très surprenant mais qui me fait comprendre que je suis lue au delà des frontières du Nord, un mail qui vient de là bas: la capitale.
J'ai 'un blog super délirant et plein d'humour', m'écrit elle... Je rougis. Elle me parle d'une nouvelle boutique, le nom ne m'évoque rien mais je suis curieuse. Alors ce soir, l'air quelque peu timide combiné à l'excitation de la première fois, je me suis rendue à Euralille et j'y ai retrouvé les cop's Marine (jamais sans son Barbu) et Lylia, j'ai vu de nouvelles têtes (connues): Lulla et Pauline. Le champagne était rosé et la découverte fortement agréable.
C'est coloré, la décoration est soignée, les produits font de l'œil à ma mastercard.
Constat de la situation: c'est beau et pas cher.
CQFD: je risque d'y passer pas mal de temps.
Conclusion: faut que je couche avec mon banquier pour ne pas payer trop d'intérêts.
Un concept store où se mélangent des corners beauté, bureau, cuisine, bébé,... Des bouilloires à 6 euros, oui j'adore les bouilloires et alors ?! Sans parler des moules à cupcakes...
Surprise surprenante: je suis repartie avec des cadeaux. C'est franchement très déstabilisant d'avoir l'impression d'être quelqu'un d'important...

Y a même un truc pour faire des bulles de savon que je vais me garder rien que pour moi, ainsi que tout le reste d'ailleurs. Je conseille fortement les gaufrettes, tant pis pour le régime.
Encore

Et surtout...


HEMA !

Billet non sponsorisé mais parce que j'ai aimé, tout simplement...

dimanche 29 août 2010

If you're going to the Côte d'Opale...

Be sure to drink a nice beer and eating good moules/frites/mayo...
Je sais, mon anglais laisse à désirer et il va falloir que j'implore Victor de me donner un coup de main afin d'être en bonne condition pour un week end londonien à venir.

Petit déjeuner face à l'Angleterre, dur le réveil...


Cap Gris Nez...



Mer transparente digne des Caraïbes et autre Polynésie.


Des vagues trop géantes pour surfer...

Une photo digne du National Geographic comme Stef a pu le dire, si si.




Les renards envahiraient les jardins selon la BBC,
ou alors j'ai rien pigé... (plus plausible)



Je pensais qu'il faisait 10°.

Rrrr... Wissant: rassemblement de beaux mecs.


Et là, ce fut le drame: plus de batterie alors je balance une vidéo d'une qualité médiocre juste histoire que vous sentiez le vent dans vos cheveux...



Je vais candidater en qualité d'attachée de presse pour promouvoir ce superbe littoral, je deviens trop amoureuse de ce coin... Une journée placée sous le signe du vent, des nuages mais pas une gougoutte de pluie (et ouais !) et même s'il a fallu mettre 3h pour rentrer au lieu de 1h15, je suis prête à y repartir dès demain... Merci la DIR de faire des travaux en plein été, sincèrement merci !