dimanche 24 avril 2011

Weight watchers ?!


C'est pas encore aujourd'hui que je vais me mettre au régime moi...

lundi 11 avril 2011

Aux frontières du (ir)réel...

Je tiens d'abord à préciser que cet article est réalisé sans trucage et en présence de Maître Larnaqueur, huissier de justice à NanarCity.

Si je ne traîne plus vraiment mes ballerines sur le blog, c'est que je suis fortement occupée à chercher l'appartement/maison/cagibi/chambre de bonne de mes rêves (et/ou le prince charmant aussi)... C'est que ça prend un temps de fou parce que côté exigences, je pense atteindre des sommets, à la limite de figurer dans le Guinness (pareil pour le prince charmant).

En plein stage 'Stéphane Plazza', je poursuis la moindre piste et je me suis finalement décidée à me tourner vers les agences... Et là je dis non !!! En première de couv' d'un magazine gratos, qui doit surement coûter un bras/un rein, je tombe sur cette annonce qui a maintenant le mérite et la chance de figurer sur mon blog...

Il y a de quoi heurter ma sensibilité !!! La votre également ?! Et non je n'ai pas gagné 10 fois les Dicos d'Or...
On a beau dire ce qu'on veut, une faute c'est acceptable mais au dessus ?! C'est licenciement pour faute grave ? J'en rigole mais je n'aimerais surtout pas être à la place de la personne en charge de la rédaction de ce chef d'œuvre...

Du coup, je lance le jeu de la semaine:
combien y a t il de fautes dans l'annonce ?!

dimanche 10 avril 2011

From Paris To Roubaix...

Il y a eu cette phrase affichée au Vélodrome qui fait sourire 'L'enfer du Nord mène au Paradis'... La plus belle course au monde pour certains où les cyclistes seraient des David à l'assaut de Goliath, autrement dit les pavés.
Le Paris Roubaix sous la pluie, sous le soleil ou sous la neige (moins probable quand même), on y a droit tous les ans et moi je suis fan. Et pas uniquement parce que c'est l'occasion de voir des hommes moulés dans leur caleçon, non non. Ou alors un petit peu quand même.
C'est magique, c'est comme un aimant, une drogue ?!

Quand l'espace de deux heures, j'ai cru ne pas pouvoir l'honorer de mes applaudissements aujourd'hui, j'ai eu la larme au coin de l'œil revolver... Un peu comme une petite fille qui serait sentie oubliée par le Père Nowel: pas cool hein ?!
C'est qu'à force de prendre l'habitude d'aller au même endroit, on ne s'attend pas à ce que subitement Paris Roubaix casse la routine et change d'itinéraire. A l'arrachée, on s'est retrouvés dans un secteur non pavé mais on est quand même repartis les mains un peu rouges et la sensation du devoir accompli.



Une course qui requiert un minimum de masochisme... Une course qui fait peur, qui fascine.
Le Paris Roubaix ne sera jamais une course quelconque. C'est LA Course, c'est ma course, c'est chez moi...