mercredi 29 décembre 2010

J'avais 18 ans...

Je tapotais le clavier de mon netbook, surfant sur télérama et national geographic... Bon en fait, facebook et danstonchat (vas y, clique Maman, tu vas rigoler!). Une recherche facebookienne plus tard et son profil se présentait à moi, ce sourire aussi charmant, ces cheveux toujours aussi inexistants. J'ai surement esquissé un grand sourire, mes joues ont encore une fois rougi.

Je n'ai pas osé tout de suite lui écrire, me demandant quoi écrire à part le sempiternel 'Comment ça va depuis le temps ?!'. Je me suis lancée le jour suivant, laissant mes doigts libres d'action, le résultat n'était pas mal et j'ai envoyé. Plusieurs jours ont passé, ma boîte restait vide.

Aujourd'hui il a répondu... Moi hésitante à ouvrir ce mail. Ça vous arrive de mettre des plombes à ouvrir un mail vous ?! Je déteste ça, ça n'est qu'un mail ! Je voulais prendre mon temps pour savourer ses lignes mais je les ai dévorées en quelques secondes: une vorace! J'ai rigolé, il est resté fidèle à lui même. Il me tutoie, je le vouvoie, non rien n'a changé.

Pas une once de séduction, je n'ai toujours eu que de l'admiration pour lui ou alors j'étais frappée par le syndrome 'lycéenne amoureuse de son prof' sans le savoir... Un déni d'amour ?!
Il fut le premier à me parler des États Unis, le premier qui rendit la géographie un peu sexy, il fut source d'inspiration. Un prof que je n'ai plus côtoyé depuis 12 ans, le choc passé d'avoir de ses nouvelles, faut il franchir le cap et aller prendre un café ?! J'aimerais tant, il est ce que j'aime chez l'être humain (homme/femme): le savoir, la connaissance. ABSOLUMENT RIEN DE SEXUEL !
Il fut donc mon prof, le prof à la Patrick Bruel, celui qui vous écoute, celui qui comprend, celui qui engueule, celui qui soutient, celui qui donne envie de se surpasser...

J'ai mon petit cœur tout en émoi mais pas l'émoi amoureux, juste le bonheur de retrouver une personne qui a compté...

Ballerines are back...



Elles risquent de me haïr sur 15 générations... Et elles auraient bien raison !!!






Elles, ceux sont mes nouvelles ballerines HELLO KITTY... Et celles qui vont me haïr ? Mes petites nièces ! Bon d'accord, je suis en super mode régression ces derniers temps: j'ai acheté une tasse, après une petite valisette pour mettre mon sandwich. 15 ans après tout le monde, je suis touchée par la folie du chaton à nœud nœud, j'ai toujours eu le neurone un peu longué...

Voilà, je suis la plus heureuse des trentenaires ce soir... Comme si la magie de Noël n'était pas partie. Je vois vos gros yeux, comment emballer avec ces ballerines aux pieds ? J'en sais rien, mais qu'est ce que j'aiiiiiiiiiiiiiime bien !!!!!!!

mardi 28 décembre 2010

Ouh c'est moche...

Mais je ne sais pas comment te le dire.
Ni désir, ni envie, non tu m'indiffères.

Je ne t'aime pas et je n'ose pas le dire.
Peur de quoi ?!

Je ne t'aime pas, tu n'es pourtant ni laid ou moche, mais je ne t'aime pas.

NOOOOOOOoooooooon je t'aime pas.
Te garder me servirait à quoi ?

Ce n'est absolument pas ce que j'ai ressenti en ouvrant mes petits cadeaux de Noël, l'année dernière BOB rejoignait ma cuisine et cette année... Euh ben, les parents de Noël m'ont un petit peu oubliée: je les vire de mon testament ?!!!
Bref, pour en revenir à nos cadeaux, quand on voit le trafic démentiel sur 'priceminister' et autres sites d'enchères, on se rend compte à quel point faire une liste peut s'avérer important, voire vital, pour éviter de recevoir un collier en coquillages ou un cendrier en pâte à sel.
La liste évite aussi tout effet (kisscool) de surprise mais risque de déception: ZERO. Mais il faut savoir ce qu'on veut hein !
Ce qui m'agace surtout, c'est de voir que ces mêmes cadeaux n'auront pas eu la chance de séduire, d'attiser... Non non, on les revend à peine les convives partis !

On peut être déçus mais pourquoi se ruer sur internet pour revendre le Graal non désiré ?! Un simple: 'Euh, je l'ai déjà !' Ou alors 'Je ne m'attendais pas à ça!' ne suffirait pas ?!
Non finalement il est bien cruel de dire à son interlocuteur que son cadeau est tout pourri/nul à chier. Le 'Ca va, t'aimes bien ?' résonne alors dans les oreilles, la gorge se fait sèche, la réponse franche 'Oh oui, super dis donc !'...

Finalement, c'est ça aussi l'esprit de Noël... Ne pas blesser l'autre et esquisser un sourire (colgate) de façage en retenant nos larmes. Un cadeau qui déplaît est aussi un cadeau offert de bon cœur... Never forget.


Bon sinon et mis à part du sexe, de la drogue et de l'alcool, z'avez eu quoi de beau ?

vendredi 24 décembre 2010

Ma vie, un drame, une tragédie, un blockbuster ?

Il est venu ce matin. On ne travaille pas vraiment ensemble, du moins on est censés avoir des rapports 'client/fournisseur', mais il vient de temps en temps.

Il est venu, je l'ai attendu et je suis cruellement déçue... Shit !
Il tenait dans sa main un sac en papier avec des pains au chocolat que je réclamais depuis des jours. En fait je réclamais surtout des croissants, je hais les pains au chocolat mais son geste, cette petite attention m'a charmée. Une discussion furtive, une réunion m'attendait mais mes joues ont eu le temps de rougir, mes jambes trembler.

A son autre main, j'ai vu ce que je n'avais jamais vu jusqu'alors... Ce petit bout de métal doré, rond, ce petit bout de métal marquant son attachement à quelqu'un, bref vous l'aurez tous compris: il avait une alliance. Beaucoup le savent, je suis un radar à alliance: c'est la première chose que je regarde chez un homme, après sa situation financière, ses chaussures et ses fesses.
Je peux jurer mais pas cracher
(parce que c'est sale) que PAS UNE FOIS il n'a évoqué une femme, des gosses ou quoique ce soit qui ai attrait à une vie de famille... Sinon, j'aurais pris mes jambes à mon cou et je l'aurais fui comme la peste.
Malaise complet.

La réunion fut longue et barbante et je me remémorais cette vision (d'horreur), ses petits messages... Moment plus douloureux en voyant cette boite mail pleine. Je ne réponds pas ou alors de manière très professionnelle, il m'appelle. Il me souhaite un bon réveillon, il espère que je sois gâtée, il a esquivé ma question: 'Tu fais ça en famille toi ?!'... Il a raccroché, il a rappelé.

J'ai alors appris qu'il était le géniteur de 4 enfants, si si. Trop lâche pour le dire ? Trop heureux de voir qu'avec son grand âge (pas retraité non plus hein, Tommawack), son charme agissait ?! Je suis en colère les amis. Mais pas surprise.
Maintenant, à moi de tromper l'ennemi, lui faire comprendre qu'on ne se joue pas de moi aussi facilement... Et le premier qui ose écrire 'Peut être qu'il va quitter sa femme', je lui balance ma tasse de thé à la figure.

Life's a bitch... A moi d'enfiler ma robe de pétasse h&m (à 14,95 euros) et aller chopper du Père Noël ce soir !
TDS !
sauf le daddy trop cool

mercredi 22 décembre 2010

Come here, kiss me... Now !

Et c'est à peine si j'arrive à me le dire: 'je suis amoureuse, je suis amoureuse ! Et toc, moi aussi ça m'arrive !'.

Je suis tombée amoureuse deux fois et ce sont ces mêmes papillons que je ressens dans le ventre, cette envie de séduction massive, ces jupes qui se font plus courtes, le regard un peu plus smocky... Merde je suis vraiment amoureuse.
Je suis amoureuse ou si je ne le suis pas, il m'intrigue, il me fascine, il me donne envie. Mais je ne le connais pas, amoureuse de quoi alors ? Je ne sais rien de lui mais il me fait rire, il fait rougir mes joues, il me trouble.

Je suis vraiment sérieuse cette fois, je ne suis pas amoureuse d'un robot ménager ou du nouveau slim suédois, non je parle d'un homme... Un homme avec ses rides, ses cheveux gris, un homme quoi !!

Mais si tout était rose dans le monde des bisounours, je ne viendrai pas chercher de l'aide ! Maintenant, il est temps d'agir et d'installer une tactique pour apprivoiser la bête. Parce que force est de constater que 'passer à l'action', ce n'est pas inné... Ben non. Mais j'aime cette maladresse, la sienne, la mienne, ses insinuations, ses mails envoyés pour ne rien dire, ses appels qui durent plus que de raison. Le charme de la séduction ?! Ces moments si légers qu'on en oublie la plus grande des contrariétés...

Je me relis, je souris. Il n'y a pas de recette miracle, le temps fera le reste. Il y a eu ce premier 'Je t'ai manqué ?!' resté sans réponse par timidité. Je n'ai pas osé lui dire que oui, une journée sans lui m'a paru être une éternité... En amour, je suis vraiment une quiche en fait, autrement dit une sous douée ! Mais je me soigne...

A quand le premier baiser ? Et s'il ne venait jamais ? Du travail à l'amour, il y a bien plus qu'un simple pas à franchir... Qui de nous deux osera le franchir en proposant un café ?

He is back !
(lui seul comprendra)

dimanche 19 décembre 2010

Sans luge, ni raquette...






Première photo en 16/9...




Et sans me retrouver les fesses au sol !