You don't speak second degré ?!

Un billet qui encore une fois concerne ma vie super excitante.

Le second degré et moi, c'est un peu comme deux twix: inséparables. Et une petite appartée pour tout simplement dire que raider ça a quand même plus de gueule que twix, vous ne trouvez pas ?

Bref... Donc second degré, auto dérision, ironie sont autant d'arts de vivre que j'aime cultiver et toujours de manière très naturelle. Ça fait de moi une nana super rigolote du coup et comme dit le proverbe 'Mec qui rit, un pied dans le lit.' Du moins quand le mec comprend...

Je suis face à un cas de figure qui me fait dire que le second degré n'est alors pas accessible à tous. Pourquoi... En blaguant (mais j'adore les blagues pourries aussi) sur adopteunmec, j'ai répondu à un (de mes nombreux) prétendant que je cherchais un homme riche pour qu'il m'emmène en vacances, super trop marrante je suis. Ce à quoi j'ai obtenu un 'Bien!' qui n'a alors suscité chez moi aucune envie de lui répondre.
Une journée plus tard, un nouveau mail de ce jeune homme: 'Vas te faire foutre profiteuse de mes deux. De toute manière avec ta sale gueule, je suis pas sur que tu trouveras quelqu'un'. J'ai corrigé les fautes bien entendu pour ne pas irriter vos petits yeux. Jusque là (soit 2 mails) il me trouvait charmante hein... Alors soit il a senti mon désintérêt complet et utilise la violence comme arme pour tenter de garder son égo à niveau, soit il n'a vraiment rien pigé au second degré: Grissom et moi penchons pour la deuxième hypothèse. La vie c'est déjà pas mal chiant alors si c'est pour tout le temps se prendre au sérieux, mouais bof. Et parce qu'il a surement eu peur d'une réponse, il m'a tout simplement bloquée, si si: quelle preuve de grande mâturité.

Je tiens quand même à rectifier que je n'ai pas une si sale gueule que ça et pauvre con je me peux aussi me payer des vacances, nah !