Mais un amour de travail éphémère, électrique, foudroyant...
Il était dans la cour du bureau quand je l'ai vu pour la première fois mercredi dernier. Je souriais en me demandant à qui appartenait ces belles fesses, son regard bleu azur avait fini de faire frémir mon cœur d'artichaut. Qui était il ???? Pas un nouveau collègue malheureusement...
Il m'a fallu deux jours pour aller vraiment vers lui, les jambes moins tremblantes, les mains un peu moins moites. Mais nous avions déjà fait exploser le Guinness Record de sourires et de regards troublants. La séduction moi je ne sais pas faire, saurais je un jour ?
Il venait de loin, du pays du chocolat pour être précise. Son travail l'avait amené dans notre contrée nordiste socialiste, dans ma jolie entreprise et par chance sa mission devait se prolonger au delà du week end, la tentation fut trop forte... Il n'a pas mis longtemps à comprendre, on s'est retrouvés le soir même à siroter un mojito. Son accent était attendrissant, sa galanterie charmante. Ses lèvres ont fini par effleurer les miennes en se quittant: un premier rendez vous parfait, oui oui.
Il n'avait pas vraiment quitté mes pensées depuis ce premier jour, on approchait le 'Coup de foudre à Notting Hill'. On s'est revus le lendemain, puis le surlendemain, puis le sursurlendemain et enfin aujourd'hui, jour cruel où sa mission achevée il devait me quitter.
La dernière soirée fut romantique, les blablas en tout genre n'ont jamais cessé, j'étais conquise. Choc brutal au réveil quand j'ai réalisé qu'il ne serait pas là, que je ne le verrai pas le soir même, finalement j'avais pris l'habitude de nos rendez vous. Mais ce matin il était là pour sa dernière intervention, j'ai eu la larme facile, trouvant une force de Jedi pour ne pas sombrer dans le chagrin. Promesse de se revoir, de s'écrire... Je n'ose l'espérer ou le croire, j'en ai juste terriblement envie. J'ai l'impression d'avoir 15 ans.
Il est sur la route au moment où mes doigts tapotent ce clavier, il est loin et j'ai grave la haine. Mon petit cœur est juste triste. Mais rempli de ces moments légers... Je me suis sentie revivre l'espace de quelques jours.
Je ne sais pas si c'est de l'amour que j'ai vécu ou alors une terrible attirance, il faut seulement reconnaître que ces trucs vous arrivent quand vous ne l'espérez pas. Et j'avais besoin de le voir/vivre de mes propres yeux.... Il me reste juste comme un goût d'inachevé qu'il va falloir combattre...
Il était dans la cour du bureau quand je l'ai vu pour la première fois mercredi dernier. Je souriais en me demandant à qui appartenait ces belles fesses, son regard bleu azur avait fini de faire frémir mon cœur d'artichaut. Qui était il ???? Pas un nouveau collègue malheureusement...
Il m'a fallu deux jours pour aller vraiment vers lui, les jambes moins tremblantes, les mains un peu moins moites. Mais nous avions déjà fait exploser le Guinness Record de sourires et de regards troublants. La séduction moi je ne sais pas faire, saurais je un jour ?
Il venait de loin, du pays du chocolat pour être précise. Son travail l'avait amené dans notre contrée nordiste socialiste, dans ma jolie entreprise et par chance sa mission devait se prolonger au delà du week end, la tentation fut trop forte... Il n'a pas mis longtemps à comprendre, on s'est retrouvés le soir même à siroter un mojito. Son accent était attendrissant, sa galanterie charmante. Ses lèvres ont fini par effleurer les miennes en se quittant: un premier rendez vous parfait, oui oui.
Il n'avait pas vraiment quitté mes pensées depuis ce premier jour, on approchait le 'Coup de foudre à Notting Hill'. On s'est revus le lendemain, puis le surlendemain, puis le sursurlendemain et enfin aujourd'hui, jour cruel où sa mission achevée il devait me quitter.
La dernière soirée fut romantique, les blablas en tout genre n'ont jamais cessé, j'étais conquise. Choc brutal au réveil quand j'ai réalisé qu'il ne serait pas là, que je ne le verrai pas le soir même, finalement j'avais pris l'habitude de nos rendez vous. Mais ce matin il était là pour sa dernière intervention, j'ai eu la larme facile, trouvant une force de Jedi pour ne pas sombrer dans le chagrin. Promesse de se revoir, de s'écrire... Je n'ose l'espérer ou le croire, j'en ai juste terriblement envie. J'ai l'impression d'avoir 15 ans.
Il est sur la route au moment où mes doigts tapotent ce clavier, il est loin et j'ai grave la haine. Mon petit cœur est juste triste. Mais rempli de ces moments légers... Je me suis sentie revivre l'espace de quelques jours.
Je ne sais pas si c'est de l'amour que j'ai vécu ou alors une terrible attirance, il faut seulement reconnaître que ces trucs vous arrivent quand vous ne l'espérez pas. Et j'avais besoin de le voir/vivre de mes propres yeux.... Il me reste juste comme un goût d'inachevé qu'il va falloir combattre...
J'espère que tu auras des nouvelles ^^
RépondreSupprimerTrop mignon. Mais le pays du chocolat que je connais, ils n'ont pas les yeux bleus, étrange, non ?
RépondreSupprimerOh là là trop mignon, et on a les mêmes références, j'ai eu cette chanson direct dans la tête dès que j'ai lu le titre!
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