Tu es partie, ton dernier mot fut 'Pshiit'.
Tu n'étais pourtant pas si vieille, plus forcément très belle mais tu me convenais bien avec ton gros cul.
Je me demande ce qui a conduit à ta mort: trop de real TV, trop de concerts de depeche mode et pas assez d'Ushuaia TV pour t'évader ?
T'es gonflée quand même, me faire ça un soir: le soir de 'recherche appartement ou maison'... Enfin tu aurais pu exploser, me défigurer par la même occasion mais tu as choisi une manière plus discrète.
Ma télévision vient de lâchement m'abandonner à mon triste sort de femme célibataire... Mais mais... Je vois cet incident dramatique/douloureux/insurmontable d'une autre manière, un moyen de s'occuper différemment le soir:
- squatter la télé chez le voisin
- squatter la télé chez mes clones en plus vieux
- squatter la télé trop high tech chez un ingénieur de chez philips
- prendre des cours de harpe
- faire des mots croisés
- tenter les pastas party (si si, ce dimanche soir même)
Ou alors, prendre le parti de vivre sans télé pendant quelques jours, voire quelques semaines... Avec comme seul contact avec le monde actuel: mon netbook et son écran de 1 pouce. C'est un défi qu'il me plait de relever, je pense en avoir un minimum dans le ciboulot pour m'occuper sans m'ennuyer... Ou alors je craque, je vends un rein et demain je m'offre un écran plasma qui sera trop grand pour mon salon de 3 m2.
Et vous alors, une vie sans télé c'est comment ? Invivable ? Votre quotidien ? Une raison pour se suicider ?!
Tu n'étais pourtant pas si vieille, plus forcément très belle mais tu me convenais bien avec ton gros cul.
Je me demande ce qui a conduit à ta mort: trop de real TV, trop de concerts de depeche mode et pas assez d'Ushuaia TV pour t'évader ?
T'es gonflée quand même, me faire ça un soir: le soir de 'recherche appartement ou maison'... Enfin tu aurais pu exploser, me défigurer par la même occasion mais tu as choisi une manière plus discrète.
Ma télévision vient de lâchement m'abandonner à mon triste sort de femme célibataire... Mais mais... Je vois cet incident dramatique/douloureux/insurmontable d'une autre manière, un moyen de s'occuper différemment le soir:
- squatter la télé chez le voisin
- squatter la télé chez mes clones en plus vieux
- squatter la télé trop high tech chez un ingénieur de chez philips
- prendre des cours de harpe
- faire des mots croisés
- tenter les pastas party (si si, ce dimanche soir même)
Ou alors, prendre le parti de vivre sans télé pendant quelques jours, voire quelques semaines... Avec comme seul contact avec le monde actuel: mon netbook et son écran de 1 pouce. C'est un défi qu'il me plait de relever, je pense en avoir un minimum dans le ciboulot pour m'occuper sans m'ennuyer... Ou alors je craque, je vends un rein et demain je m'offre un écran plasma qui sera trop grand pour mon salon de 3 m2.
Et vous alors, une vie sans télé c'est comment ? Invivable ? Votre quotidien ? Une raison pour se suicider ?!
je ne m'imagine plus vivre sans télé mais j'ai conscience que c'est un peu triste d'en arriver là alors qu'il y a tant d'autres choses à faire ... si tu relèves le défi, bon courage !
RépondreSupprimerVivre sans télé... JAMAIS!!!!
RépondreSupprimerC'était le cas pour moi l'année dernière, ce qui ne me manquait pas du tout: je lisais plus de magazines, de journaux, et je bossais beaucoup... Maintenant, chéri s'est installé avec sa télé, mais je saurai être raisonnable ;)
RépondreSupprimerBisous, et bon courage alors !!
En tout début d'année scolaire 2009/2010, j'ai dû faire sans et j'avoue seule dans son petit appart c'est dur. C'est également dur de réaliser qu'on est quelque peu addict mais du coup j'essayer de voir plus mes ami(e)s...
RépondreSupprimerBises.
Vivre sans télé est pour moi un rêve... irréalisable ! Mon homme est complètement accro à cette boite. Je me rappelle le bon vieux temps ou j étais célib, en coloc ou même toute seule, la musique remplacait la téloche et c'était bien plus sain !
RépondreSupprimerJe vis depuis presque un demi-siècle. Mon amoureuse et moi possédons une télé depuis la fin des années 1980. Je la regarde trois ou quatre heures... par an. Quand c'est une bonne année, évidemment. Nos deux collégiens s'en occupent bien, ils l'allument, l'éteignent, essaient de lui trouver une petite boîte décodeuse car il paraît que sinon, elle ne rendra bientôt plus rien. Cet écran est un peu comme leur gosse. De mon côté, je ne m'en souviens reéllement qu'au moment de régler la redevance.
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